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LE SÉRAIL.


Nous arrivâmes au sérail de la Dupré. On nous introduisit dans un salon magnifiquement décoré ; la lumière des lustres qui se réfléchissait dans les glaces, formait un coup d’œil enchanteur. La Dupré avait, par une sage précaution, orné ce salon des portraits des femmes de son sérail, de sorte que l’on pouvait sauver à celles à qui il restait de la pudeur, la honte de paraître devant un homme sans lui être agréable.

Le chevalier B… était tout puissant dans cette maison, on le redoutait, la Dupré consentit facilement à s’écarter, par considération pour lui, des règles qu’elle y avait établies.

Le chevalier B… s’était livré dès

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