admirablement avec sa peau de satin
blanc, offrait un contraste frappant.
Le vase de Divine entouré d’une
mousse blonde, et douce comme la soie,
ne contrastait avec son corps d’albâtre,
que par des bords de corail ;
l’une était une blonde, qui avait
toute la vivacité d’une brune, l’autre,
une brune qui avait toute la mollesse
d’une blonde.
Dieux ! quels plaisirs je goûtai sur le sein de ma vive et sémillante conductrice, comme elle possédait l’art des combats amoureux ! que ses attitudes, ses mouvemens étaient rapides, voluptueux et variés ! Oui, je le confesse, elle me fit presqu’oublier Divine : il fallut pourtant se quitter, l’heure à laquelle je devais revoir cette dernière approchait. Je ne sais quels pressentimens m’agitèrent, j’étais dans