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Le lendemain, Jean Gomper se rendit chez le fils de son propriétaire, à qui il répéta les paroles du damné, puis chez le sergent qui ne put que constater que la quittance était valable ^

(Conté par Hervé Brélivet, de Dinéault. -— Quimper, 1888.)

1. Cf. Luzel : Le brigand et son frère Cermite ; Légendes chrétiennes, t. I, p. 187. Les deux légendes ont un grand nombre de traits communs ; il est possible que la version recueillie dans le Finistère soit une version abrégée et simplifiée, mais il se peut aussi qu'elle soit la version originelle et que la légende publiée par M. Luzel se soit enrichie d^épisodes empruntés à d'autres voyages en enfer. Cf. Luzel : ibid., p. 162 et suiv., 175 et suiv.