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ne les aurais pas sauvées, mais tu aurais été condamné toi-même, en revanche, et cela jusqu’à la fin des temps, à manger les crêpes que faisait l’une, à grignoter l’os qu’avalait l’autre, et à aider dans ses calculs la troisième.

(Conté par Françoise Omnès. — Bégard, août 1889.)