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( 631) q 1 rage néceilaire pour réüîter aux préjugés , n’a fait que I rendre plus (olides 82 plus inébranlables les fondemens usr lefqucls repol`e la uouvelleidoclrine chimique. Cicil dans cet état dela [`cience , c ell à' Yepoque ou les faits nouveaux , généralement reconnus, n’exc:tent encore des difcuilions entre les Phyficiens , que relativement à leur explication , que M. Lavoifier , auteur de Ia plus grande partie de ces découvertes, Sc de la théorie iimple 8c lumineufe qu’elles ont créée, s`e& propofé d`encha'iner dans un nouvel ordre les vérités nouvelles , 8c d'oû'rir aux Savans , ainii qtfà ceux qui veulent le devenir, l'en(`emble de fes travaux, Ceux qui ont (uivî avec foin les progrès Cucceflifs de la Chimie, ne trouveront dans l’©uvrage dont nous nous occupons, que les faits qu'ils connoiflent déjà; mais ils fe préfenreronr à eux dans un ordre qui les frappera par la clrtê Sz fa précilion. Ce (era donc fpécialement fur la marche des faits, des idées Sc des raifonnemens tracés par M. Lavoilier, que nous inlifterons dans ce rapport. Ce Traité eü divifé en trois parties. Dans la première, M. Lavoiiier ex ofe les élémens de la fcience Sc les baies fur lefquelles elle ell fondée. Cell fur les corps les plus limples , Sc Fur le premier ordre de leurs com- binaifons , que roule cette première partie, comme nous le dirons tout-â-l`heure. La feconde partie prêlènre les tableaux de toutes les · combinaifons de ces corps iimples entr'eux, 8c des mixtes qrfils forment les uns avec les autres. Les compoiés falîns neutres en font particulièrement le fujet. Dans la troiüême partie , M. Lavoiiier décrit les ap- pareils nouveaux, dont il a imaginé la plus grande partie, Sc à. l’aide defquels il a établi les vérités expofées. dans la première partie. Coniidêrons chacune cle ces parties plus en detail , 8: ûnîvons l’Auteur iuiqrfâ (`es dernières diviiions , pour faire connoître lillllllllé 8c Yimportance de fon Ouvrage. ' R r iv