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558 Dv Fouauenv srzzrmr. Le fourneau repréîenté plana/Ea XIII , fig. 1 , ell le moins compliqué de tous ceux dont on fe (`ert en Chimie, on il peut être employé cependant a un grand nombre d’uI`ages. On peut y placer des creufets , y fondre du plomb, de Pétain, du bifmuth, 8: en général toutes les matières qui u’exîgent pas pour être fondues, un degré de feu três—conlidérable· On peut y' faire des oalcinarions métalliques , placer deflizs des bafîines, des vailleaux évaporatoircs, des capfnles de fer pour former des bains de fable, Cümme on le voit repréf`enté_1·•I. III, fg. I 6* 2·· C’eû pour le rendre applicable a ces diflérentes opérations, qu’on a ménagé dans le haut des éCl1Z\Dc1‘Ux’eS 11: nz nz mg autïemetlt labafïïue qu’ou auroit pofée fur le fourneau auroit imerceptê tout pallage à Pair, St le charbon fe feroit éteint. Si ce fourneau ne- produit qu"uu degré de chaleur médiocre, c’eII que la quantité de charbon qu’iI peut conlommer ell limitée par la quantité d’air qui peut pafïer par Pouver- ture G du cendrier. On augmenteroit beaucoup Yon efiet', en aggrandillant cette ouverture; mais le grand. coùrant"d’air qui conviendroit dans quelques expériences", auroit de l’incon·- vénient dans beaucoup cl’autres , & c’eIl: ce qui oblige de garnir un laboratoire de fourlleânx de diiïérexites formes & coullruits Fous diH`érens`