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Oxx¤AT10N nu Fna. 5xg tion qui a eu lieu pendant la calcination ; (vqyeq page 3; les détails que j’ai donnés fur cette expérience) mais ce gem': d’opérations ue pou- vant le faire que très .en petit , il relie toujours de Pincertitude fur les quantités. La combullion du fer dans le gaz oxygène étau: une véritable oxidation , je dois en faire mention ici. Ifappareil qu’emploie M. Ingen- Houfz pour cette opération , ell reprél`enté pl. IV, fg. 17. J’en ai déjà donné la defcrîption, page ai , 8c je ne puis qu’y renvoyer. On peut aulli brûler & oxider du fer fous des cloches de verre remplies de gaz oxygène , de la même manière qu’ox1 brûle du pholphore ou du charbon. On le I`ert également pour cette opération de Pappareil reprélenaté plarzclze Il", fig. 3 , 84 dont fai donné la defcriptîon , p. 61. ` ` Il faut dans cette expérience, comme dans la combulliou , attacher à l’une des extrémités du fil de fer ,_ ou des copeaux de fer qu’0u fe pro- polè de brûler, un petit morceau d’amadoue & un atômede phofphore : le fer chaud qu’ou paffe fous la cloche allume le pholpliore; celui- · ci allume Yamadoue , & Pinflammatiou fc com- munique au fer. M. Ingen-Houfz nousa appris qu’0n, pouvoir brûler ou oidclen dela même manière tous les métaux., à l’exception de Por, de l’argent & du mercure. Il ne s’agît que de Kk iv