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CoM1aUsT1oN DE L’ÀLKOOLn yo: mais je 11’aî rien d’abl`olume11t certain fur les propomons. _ §. I I I. De la Combat/lion de Z’Efj2ri:-de-vin au Alkool. ‘ La combuilion de Falkool peut à la rigueur le faire dans l’appareil qui 21 été décrit ci-delllïs pour la combuflîon du charbon 8: pour celle du phofphore. On place fous une cloche A , planche 17,fg. 3, une lampe remplie (Val- kool 5 on attache à la mâche tm arôme de phot`-. phore, 8: on allume avec un fer recourbé qu’ou paiïe par-deH`0us la cloche : mais cette manière d’opérer ell fufceptible de beaucoup d’incon- véniens. Il 1`eroît d’abord imprudent d’empl0yer du gaz oxygène, par la crainte de la détona- V tion : on ¤'eft pas même e11tî.èremem exempt · de ce xîfque , lorfque l’ox1 emploie de Pair at- mofphériqtte, Si j’€n ai fàît, en préîetxce de qttelques membres de l’Académie , une épreuve qui a penfé leur devenir funefïe aînli C_[U,à moi. Au lieu, de préparer Pexpérîeuce comme jlétoîs dans Phabitude de le faire , au mo ment même ot; je devoîs opérer , je Pavois difpolée dès la veille. L’air atmobnhérique contenu dans la clo- che , avoit eu en coxiféqttence le tems de dî[`·· fotidre de Palkool : la vaporifation de Palkool _Iî ii] l