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.;.78 'D1: LA Cemuuswtow. CHAPITRE VII. Des Opérations relatives à la c0mbu_/Hom proprement dite 6* à la detorzzztion. 1-_4A couîbuflîou n’eIl autre clmle, d’aprërs ce qui a êté expolé dans la première Partie de cet Ouvrage , quê la ClÉCOmp©`litl0t1 du gaz oxy- gène opérée par un corps cembuüîble. ,L’0xy·- gène qui forme la bafe de ce gaz ell abibrbê, le calorique 8: la lumière deviennent libres 8: fe clégageutt Toute combufliou entrâne donc avec elle Pidée d’0xygénatî0n , tandis qu’au eontraire Poxygênatîon n’euu·a'ine pas efîentîel- lement Pidée de combuilion, puifque la com- bufliou proprement dite ne peut avoir lieu (aus tin dégagement de lumière 8: de calorique. Il faut , pour que la combuflîon s’0pêre , que la baie du gaz oxygène ait pluë cl’affinité avec le corps combuilîble , qvfelle rfeu a avec le cal©+ rique : or cette attraflion éleâîve , pour me fervir de Pexpreïlion de Bergman , n’a lieu qu’à un certain degré de température, qui même ell dîflëreut pour chaque ilnbllance combuilî- ble ; de-là la néceûïtê de donner le premier mouvement â la combufliou par Yapprcche dim corps chaud. Cette néceflîté d’échauHbr le corps