DE LA DtSTzLLATIoN c0M1>0SÉE. 4.;: roit pollible, fai pelillé qu°il valoir mieux dé· crire tout d’un coup Tàppareil le plus parfait; plutôt que de fatiguer le lecteur par le détail de tentatives infruflueufes faites dans un tems ou l’on t1’avoit encore que des idées très-îtr_- parfaites fur la nature des gaz en général; L’ap—· pareil dont je vais donner la delcription ell: deilîné à la plus compliquée de toutes les dif- tillations : on pourra le [implilier enfuite (uivmi: la nature cles opérations. A , plmiclze IV , fgura I , Iepréliellte une cornue de verre tubulée en H , dont le col B s’ajuile avec un ballon G C à deux pointes.A la tubulure Fupérieure D de ce ballon s’ajulle un tube de Verre D È fg qui vient plonger par (on extrémité g dans la liqueur contenue clars la bouteille L. A la fuite de la bouteille L qui ell tubuléè en xx x font trois autres bouteilles I], L”,L'”, qui ont de même trois tubulures out gouleztux bc', ,x',x'; x", x", y";;;;"', jc"', gc"', Chaque I Il I bouteille ell liée par un tube de verre xy;';
- cj»'.(",xZy".ï"'; enfin à la dernière tùbtllure de
la bouteille L"' ell adapté un tube :x:"'R M qui aboutit Tous me cloche de verre, laquelle ell placée fur la tablette de Pappareil pneumato~ chimique; Conununément on mût dans la pre- mière bouteille un poids bien connu dkau dillillée, & dans les trois autres de Ia potafîe P f ij _
