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Das Anamnrcs né MÉTAL. 44; Les vaifïeaux de verre étant trZ:s—fragiles 8: ne réfiilant pas toujours aux alternatives hrufl · ques du chaud & du froid , on a imaginé de faire des appareils dillillatoires en métal. Ces inflrumens font néceflaires pour diiiiller de l’ean, des liqueurs fpiritueufes , pour obtenir les huiles eîlentielles des végétaux , &c. On ne peut fe _ difpetifer dans un laboratoire bien monté d’a- voir un ou deux alambics de cette elpèce se de diH`érente grandeur. Cet appareil diilillatoire coniifle dans une cucurbite de cuivre rouge étamé A, pl. III, jîg. 15 ô· 16’, dans laquelle s’ajuPt€l, lori`qu’0n le juge à propos , un bain-marie d’étain D, fgure 17 , 8: (hr lequel on place le chapiteau F. Ce chapiteau peut également s’ajuIler fur la cucurbite de cuivre-, lans bait1~matie ou avec le bain-marie , htivant la nature des opérations. Tout l'intérieur du chapiteau doit être en étain. Il ell néceflaire , fur—tont pour la diflillation des liqueurs fpiritueufes , que le chapiteau F de Palambic foit garni d’u¤ réfrigérent SS, fg. 16*, dans lequel on entretient toujours de Peau fraîche. On la laine écouler par le moyen du robinet R , quand on s’appercoit qu’elle devient -» trop chaude, Exc on la renouvelle avec de la fraîche. Il ell ailé de concevoir quel eff Pufage de cette eau; Pobiet de la diflillatioti cli de