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DE LA soLUT1oN ntës Sim. $:23 tives & élémentaires du corps que Pon divîle. C’cll en cela que dillerent les agens mèchzzrsi- ques des agens chimiques; ees derniers divilent un corps dans les molécules primitives. Si, par — exemple, c’elt un [el neutre , ils portent la di- vilion de les parties ztullï loin qu’elle le peut être fans que la molécule celle d’être une mo- lécule de fel. Je vais donner dans ce chapitre des exemples de cette elpècc de divilion. .l’y joindrrti quelques détails fur des opérations qui y [ont relatives. §. I. De la Solution des Scls. On a long-tems confondu en chimie la lolu- tion & la dillolution, 8: l’on délignoit par le même nom la divîüon des parties d’un lel dans un Huide tel que l'eau , 8: la divilion d’un mé- tal dans un acide. Quelques réllexions l`ur les ellets de ees deux opérations feront lentir qu’il l 11’e[l pas pollible de les confondre. _ Dans la (olution des Fcls , les molécules la- lines lont limplement écartées les unes des au- tres, mais ni le (el , ni Peau n’éprouvent aucune E déeompolition , 84 on peut les retrouver l,U1] 8: lautre en même quantité qu’avant Popération. On peut dire la même chol`e de la dîllolution des rélines dans l’alkool 84 dans les dillolvatis Dd iv