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D U L A V A G 2. qu moins grolïier que le premier. On décante une troifième fois pour obtenir un troilième dépôt, qui ell au ïecoud pour la finefle ce que le fecond ell au premier. On continue cette ma- nœuvre juïqtrà ce que Peau loir éclaircie; 8: la poudre grollière 8: inégale qu’on avoit ori- ginairemeut , fe trouve léparée en une fuite de dépôts qui , chacun eu particulier, Font cl’un degré de fïnelle à peu près homogène Le même moyen , le lavage, ne s’emploie pas Feulement pour féparèr les unes des autres les molécules de matieres homogènes, &qui ne difierent que par leur degré plus ou moins grand de tlivilion ; il Fournit une rellource nou moins utile pour léparer des matières du même degré de finell`e , mais dont la peïanteur fpé·· cilique ell diliérentez c’eli principalement dans . le travail des mines qu’ou fait ulage de ce — moyen. On le (`ert pour le lavage dans les labora- toires , de vaifleaux de diliérentes formes, de terrines de grès, de bocaux de verre , &c. . ~ quelquefois pour décanter la liqueur lans trou- bler le dépôt qui s’efl formé , ou emploie le ûphon._Cet inllrumem: confifle en un tube de ' r verre ABC, planahe Il, fig. 11, recourbé en B, Bt dont la branche BC doit être plus longue de quelques pouces que celle AB. Pour