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C’est alors que l’une des nymphes commet l’imprudence insigne de révéler au gnome la toute-puissance qui serait attachée à cet or forgé en anneau, et cela, au moyen de ce nouveau motif, qui, on le remarquera, offre beaucoup de rapports avec celui de l’Anneau, lequel n’apparaît qu’un peu plus loin.

LA PUISSANCE DE L’ANNEAU
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Ici se noue, à vrai dire, l’action du drame entier ; sans le bavardage inconsidéré des Nixes, Alberich n’aurait pas songé à dérober l’Or, qui va causer tant de malheurs.

Mais, pour posséder cet or, lui apprend à son tour une autre fille du Rhin, il faudrait renoncer à l’amour.

RENONCEMENT À L’AMOUR
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