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[Ce motif si caractéristique, svelte, audacieux et chevaleresque, escortera le vaillant chevalier dans toutes les circonstances héroïques, avec peu de transformations.

Nous le retrouverons jusqu’à la dernière page de l’ouvrage, au moment où Lohengrin part ; mais là, après s’être présenté sous la forme triomphale qui lui est habituelle, il prend le deuil, il emprunte la tonalité mineure.]

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C’est également pendant le récit du Rêve d’Elsa qu’on entend pour la première fois cet autre motif, complétant en quelque sorte celui de Lohengrin, dont il semble proclamer La Gloire et célébrer les hauts faits.

LA GLOIRE
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[Celui-là se retrouvera à la scène suivante, à l’arrivée du héros,

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puis à la scène finale du 3e acte.]