Scène IV.
auprès du guéridon. Voilà ce que j’ai trouvé de mieux.
Tout cela me semble très-appétissant.
Quant au vin, c’est de celui que vous avez bu, il y a un mois, en célébrant la cinquantaine du mariage de M. et madame Denis.
Oui, oui, je le connais… Excellent, mais sournois en diable !
Ah ! dame, du jurançon.
Et comme il avait mis notre respectable parrain en gaieté !
Vraiment ?
Il riait, il chantait, il embrassait sa chère moitié ! (Il s’avance vers Lucile.)
Monsieur, je ne veux pas que vous buviez de ce vin-là.
Nous lui verserons beaucoup d’eau.
Ah ! Nanette…
Voilà qui est prêt…. À table !
À table ! (Il conduit Lucile, qui se place à gauche du guéridon[2].)
Et ne perdons pas de temps. J’ai commandé la voiture ; elle sera en bas dans un quart d’heure. (Bruit au dehors. Elle s’arrête.) Hein ?
Quoi !