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et d’un collimateur pointés vers son centre ; a ce centre se trouve une plate-forme à laquelle on peut donner de petits mouvements dans

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tous les sens, au moyen de vis de rappel. On fixe à la cire le cristal sur cette pjate-forme, de manière que l’arête du dièdre h mesurer

Flg. 8.

soit a peu près verticale et dirigée vers lo centre ; on rectifie alors la position de la plateforme de manière il remplir rigoureusement les deux conditions qui viennent d’être énoncées. Ces deux coudiiions sont satisfaites lorsque l’arête coïncide avec le fil vertical du réticule de la lunette, dans quelque position qu’on place cette lunette. Cela fait, on éclaire le collimateur, qui alors envoie, sur le cristal, par une fente très-mince, un faisceau lumineux contenu dans un plan vertical et, pour avoir l’angle dièdre cherché, il suffit de placer ia lunette dans une position fixe, et de chercher ensuite les deux positions à donner au cristal, pour que le faisceau lumineux revienne dans l’axe optique de la lunette, en se réfléchissant successivement sur les deux faces de l’angle cherché. L’angle dont a du tourner le cristal d’une position à l’autre est le supplément de l’angle cherché. On lit cet angle sur le limbe au moyen du vernier que porte l’alidade liée à la plate-forme.

GONIOMÉTRIE s. f. (go-ni-o-mè-trl — rad. goniumètre). Art ou manière de mesurer les angles.

GONIOMÉTRIQUE adj. (go-ni-o-mé-tri-ke

— rad. goniométne). Qui appartient a la gonioinétrie : opérations GONiomÉtriquks.

GONIOMYCÈTES s. m. pi. (go-ni-o-mi-sè-te

— du gr. go»è, rejeton, germe ; mu/res, champignon). Bol. Groupe de champignons correspondant à une partie de la division des uiéilinées.

GONION s. m. (go-ni-on — du gr. gônîa, angle), lnfus. Genre d’infusoires de la famille des volvociens, à corps membraneux et plus ou moins anguleux : Les gosions sont des animaux uerts, ovoïdes. (E. Desmarest.)

GONIOFHOLIS s. m. (go-ni-o-fo-liss — du gr.gânia, angle ; phôlis, écaille). Erpét. Genre de reptiles fossiles voisin des crocodiles. Encycl. Les youiopholis ont des dents

très-épaisses, à couronne arrondie et obtuse, munies de petites côtes longitudinales saillantes. Les vertèbres ont l’extrémité du corps presque plate ou sont un peu biconcaves ; les caudales portent de grands osselets en V, non ankylo-.es. L’ilium est plus long que chez les crocodiles vivants. Les extrémités sont inconnues. Les écussons de la peau sont nombreux, forts et osseux, formant des quadrilatères réguliers, avec un processus conique, qui est reçu dans une dépression de l’écusson voisin. Les goniopholis ont habité les eaux douces, comme les crocodiles de nos jours ; ils étaient moins carnassiers et poursuivaient peu les poissons ; peut-être étaient-ils herbivores. Ou a trouvé le goiiiopholis crassidens dans le weald d’Angleterre.

GONlOPHORE s. ni. (go-ni-o-fo-re— du gr. gônia, angle ; p/wros, qui porte). Echin, Genre d’échinodernies voisin des cidarites.

GONIOPORE s. m. (go-ni-o-po-re — du gr. gânia, angle ; poros, pore). Zooph. Genre de polypiers zoanthaires pierreux, formé aux dépens des astrées.

GONIOPSIDE s. m. (go-ni-o-psi-de —du gr. gânia, angle ; upsis, face). Crust. Genre de crustacés décapodes brachyures, formé aux dépens des grapses, et dont l’espèce type habite le Japon.

GONIOPTÈRE s. m. (go-ni-o-ptè-re — du gr. gânia, angle ; pteron, aile). Entom. Genre d’insectes coléoptères tétramères, de la famille des charançons, comprenant sept espèces qui habitent l’Australie.

GONIOPTÉRIS s. m. (go-ni-o-pté-riss — du

fr. gânia, angle ; pteris, fougère). Bot. Genre e fougères rapporté par quelques auteurs, comme simple section, au genre polypode.

GONIOPTÉRYGE s. m. (go-ni-o-pté-ri-jedu gr. gânia, angle ; pterugion, petite aile). Entom. Genre d’insectes lépidoptères.

GONIOPYGE s. m. (go-ni-o-pi-je — du gr. gânia, angle ; pugê, anus). Echin. Genre d échinodermes de ia famille des cidarites.

GONIOSOME s. m. (go-ni-o-so-me — du gr. gânia, angle ; sâma, corps). Erpét. V. gonyosojië.

— Arachn. Genre d’arachnides de l’ordre des phalangiens, comprenant seize espèces qui habitent l’Amérique du Sud.

GONIOSPERME adj. (go-ni-o-spèr-me-du

fr. gânia, angle ; sperma, graine). Bot. Qui a es semences anguleuses.

goniostemme s. m. (go-ni-o-stè-me — du gr. gânia, angle ; stemma, couronne). Bot. Genre d’arbustes grimpants de la famille des aselépiadées, tribu des sècamonées, dont l’espèce type croît dans l’Inde.

GONIOSTOME ad. (go-ni-o-sto-rae — du gr, gânia, angle ; statua, bouche). Zool. Qui a la bouche anguleuse.

s. m. pi. Groupe de mollusques gastéropodes, à coquille uni valve et à opercule corné, tels que les troques et tes cadrans.

GONIOTROP1S s. m. (go-ni-o-tro-piss — du gr. gânia, angle ; tropis, carène). Entom. Genre d insectes coléoptères pentamères de la famille des carabiques, dont l’espèce type vit au Brésil.

GONNE s. f. (go-ne). Mar. Baril qui contient du goudron, il Futaille à mettre du vin, de la bière, du saumon salé et autres provisions.

GONNEAU DE LA BROUCE {Michel), habile copiste du xve siècle. Il remplit les fonctions sacerdotales et employa ses heures de loisir à copier avec beaucoup d’art des ouvrages qu’il ornait de miniatures. La Bibliothèque Nationale possède de lui trois manuscrits, qui sont des chefs-d’œuvre.■ le Homan de Tristan, le Roman des marques de Home, le Roman de Lancelot.

GONNELIEU (Jérôme de), jésuite et écrivain acétique fiançais, né à Soissonsen 1640, mort en 1715. Il a publié une foule de petits livres de piété écrits avec onction, et qui ont eu un grand succès. Le plus connu est une Imitation de Jésus-Christ, traduction en français, avec des pratiques et des prières (1712, in-8°). Il est constaté depuis longtemps que la traduction est d’un nommé Cusson, et que les pratiques et prières qui l’accompagnent appartiennent seules au père Gonnelieu ; mais on continue à imprimer ce volume sous son nom, et l’on dit méine souvent tout court : l’Imitation de Gonnelieu.

GONNELLEs. f. (go-nè-le). Ichthyol. Sousgenre de blennies qui habitent la mer.

GONNEK (Nicolas-Thaddée de), publiciste et jurisconsulte allemand, né à Bamberg en 17C4, mort à Munich en 1827. Lorsqu’il eut achevé ses éludes de droit, il fut nommé conseiller aulique dans sa ville natale, fit partie, à ce titre, d’une commission chargée d’élaborer un projet de loi pénale, devint professeur de droit romain en 1732, et fut nommé, en 1797, membre de la seconde Chambre. Appelé à occuper une chaire de droit à Ingolstadt, en 1799, Gonner passa, l’année suivante, à Landshut, où il devint prochancelïer de l’université. Depuis cette époque, il remplit successivement les fonctions de président de cour d’assises dans le département de l’isar (1812), de référendaire de justice (1S15) et de conseiller d’État (îsn). Gonner joua, en outre, un rôle actif comme membre de la première puis de la seconde

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Chambre bavaroise (1819). Nous citerons parmi ses ouvrages : le Droit publie allemand (Landshut, 1804) ; Archives pour la législation et la réforme des éludes juridiques (1808-1814, 4 vol.) ; Projet d’un code de procédure civile (1815-1817, 3 vol.) ; Annales de la législation et de l’administration de la justice du royaume de Bavière (1810-1820, 3 vol.), en collaboration avec Schmidt.

GONNERV (SAINT-), village et commune de France (Morbihan), cant., arrond. et à 15 kilom. de Napoléonville, près du canal de Nantes à Brest ; 579 hab. Le château de Carcado, situé sur le territoire de Saint-Gonnery, a vu naître Jean le Sénéchal, baron de Careado, tué à la bataille de Pavie en 1525, en couvrant de son corps François Ier.

GONNEVILLE (Binot Paulmier de), navigateur français, né à Honfleur dans le xve siècle. Il appareilla de ce port pour l’Inde en 1503. Assailli par la tempête, il aborda une terre méridionale, située au delà du cap de Bonne-Espérance, y radouba son vaisseau, y séjourna six mois, puis revint en France, amenant avec lui Essomeric, fils du roi de ce pays, à qui il promit de le ramener au bout de vingt lunes. N’ayant pu tenir cette promesse, Gonneville institua Essomeric son héritier universel sous la condition de porter son nom. Quant à la terre que Gonneville dit avoir découverte et qui a longtemps figuré, sous son nom, dans les géographies et sur les cartes, elle n’a pu être retrouvée par les explorateurs modernes. Tout porte à croire que ce que Gonneville considérait comme une terre australe n’était autre chose que l’île de Madagascar. — L’abbô Binot Paulmier de Gonneville, arrière-petit-fils de l’Indien Essomeric, mort vers 1669, fut chanoine de Lisieux et résident du roi de Danemark en France. Il était très-inslruit et avait beaucoup voyagé. Il a publié ; Mémoires touchant l’établissement d’une mission chrestienne dans le troisième monde, autrement appelé la terre australe, méridionale, antarctique et inconnue, dédiés au pape Alexandre XII, par un ecclésiustique originaire de cette même terre australe (Paris, J663, in-8°).

GONOCALYX s. m. (go-no-ka-likss — du gr. gonos, sperme ; kalux, calice). Bot. Genre d’arbrisseaux, de la famille des vacciniées, dont l’espèce type croit sur les montagnes du Mexique.

GONOCÈLE s. f. (go-no-sè-le — du gr. gonos, semence ; kêlê, tumeur). Pathol. Accumulation morbide du sperme dans les vaisseaux séminifères.

GONOCÉPHALE s. m. (go-no-sé-fa-ledu gr. gonu, genou ; kephiuê, tète). Entom. Genre d’insectes coléoptères hétéromères, de la famille des inélasomes, tribu des’ ténébrions, formé aux dépens des opatres, et comprenant une soixantaine d’espèces qui habitent l’ancien continent et l’Australie.

— Erpét. Syn. de goniocéphalk.

GONOCÈRE s. m. (go-no-sè-re — du gr. gonu, genou ; keras, corne). Entom. Genre d’insectes, de la famille dos coréides, tribu des lygéens, voisin des corées, et comprenant quelques espèces qui habitent l’Europe.

GONODACTYLE s. m. (go-no-da-kti-ledu gr. gonu, genou ; daktutos, doigt). Crust. Genre de crustacés stomapodes, de la tribu des squilles, comprenant quelques espèces qui vivent dans les mers des pays chauds  : Le gonodactylh goutteux se rencontre dans la Méditerranée. (H. Lucas.)

GONOGÉNIE s. m. (go-no-jé-nî — du gr. gonu, genou ; geneias, duvet). Entom. Genre d’insectes coléoptères hétéromères, de la famille des mélasomes, formé aux dépens des scotobies, et dont l’espèce type habite le Pérou.

GONOGONE s. f. (go-no-go-ne — du gr. gonu, genou ; gonos, germe). Bot. Syn. de goodyerë, genre d’orchidées.

GONOÏDE adj. (go-no-i-de — du gr. gonos, semence ; eidos, aspect). Pathol- Qui ressemble au sperme : Humeur gonoïde.

GONOLEK s. m. (go-no-lèk). Ornith. Espèce de pie-gnèche, qui habite le Cap-Vert.

GONOLOBE s. m. (go-no-lo-be — du gr. gonu, genou ; t., bas, gousse). Bot. Genre de plantes grimpantes, de la famille des asclépiadées, type de ia tribu des gonolobous, comprenant une trentaine d’espèces qui croissent dans les régions boréales et tropicales de l’Amérique.

GONOLOBE, ÉE adj. (go-no-lo-bé — rad. gonolol/e). Bot. Qui ressemble ou qui se rapporte au genre gonolobe.

— s. f. pi. Tribu de la famille des asclépiadées, ayant pour type le genre gonolobe.

GONON (Benoît), écrivain français, né à Bourg en Bresse. Il vivait dans la première moitié du xvue siècle, entra dans l’ordre des célestins, vécut à Lyon et composa plusieurs ouvrages recherchés pour leur rareté non moins que pour leur singularité. Nous citerons notamment : la Chasteté récompensée ou l’Histoire des sept pucelles (Bourg, 1C43, in-8°) ; Histoires véritables et curieuses où sont représentées les étranges aventures des personnes illustres (Lyon, 1644, in-8°).

GONON (Pierre-Marie), écrivain français, né à Lyon en 1804, mort en 1850. Il a publié

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entre autres ouvrages : Documents historiques sur la vie et les mœurs de Louise Labé (Lyon, 1844, in-8») ; Bibliographie historique de la ville de Lyon (Lyon, 1846, in-8"), travail qui est le fruitde longues recherches ; Lyonaffligé par sièges et eschallades (Lyon, 1848), réimpression d’un écrit publié à Lyon en 1564.

GONON (Eugène), sculpteur et fondeur, né à Paris en 1814. Son père, Honoré Go^on, h. qui l’on doit d’avoir retrouvé les procédés des anciens pour la fonte à cire perdue, exerçait avec talent la profession de fondeur. Il apprit îi son fils tous les procédés de son art, lui fit donner une solide instruction scientifique, afin qu’il connût à fond la métallurgie et la chimie, puis, lui reconnaissant de vives aptitudes artistiques, il lui fit suivre les cours de l’École des beaux-arts. Eugène Gonon apprit alors la sculpture, la ciselure, prit des leçons de Pradier et de Blonde ! et devint en peu. de temps un artiste fort remarquable. Après avoir fondu en bronze, avec son père, par des procédés nouveaux et avec une {jerfection jusqu’alors inconnue, des groupes d’après des modèles du grand animalier Barye, le jeune artiste s’attacha à perfectionner encore la façon de procéder de son père, qu’il rendit plus rapide, plus sûre, plus complète. Depuis lors, non-seulement M. Gonon a.exécuté, d’après des maîtres anciens et modernes, un grand nombre de groupes, de bas-reliefs, de statues, de bustes, d’animaux, rouis encore il s’est fait une juste réputation en modelant I et fondant à cire perdue un grand nombre d’œuvres de sa composition. En récompense j de ses travaux, il a successivement obtenu une médaille de 2e classe à l’Exposition universelle de 1855, une médaille de ire classe à l’Exposition des beaux-arts appliqués à l’industrie en 1863, et une médaille d or à l’Exposition universelle de 1867. Parmi les œuvres originales qu’il a exposées, nous citerons : Fauvette babillarde, inquiétée par un rut et une. vipère (1853) ; les Rossignols et les raisins (1853) ; Combat de merles (1859) ; Oiseaux guettant un insecte. (1859) ; Rossignols pris au piège (1859) ; Nid de fauvettes dans les lilas (1867), œuvre que les exposants de bronzes offrirent à Napoléon III ; Conséquences d’un orin/e (1868). morceau exécuté par des procédés nouveaux, et qui est d’une perfection étonnante.

GONONDAULI s. m. (go-non-dô-li). Comm, Sorte de riz.

GONOMYIE s. f. (go-no-mî — du gr. gonu, genou ; mnia, mouene). Entom. Syn. de limnobie. genre d’insectes diptères.

GQNOPE s. m. (gono-pe — du gr. gonu, genou ; pous, pied). Entom. Genre d’insectes coléoptères hétéromères, de la famille des mélasomes, dont l’espèce type vit au Cap de Bonne-Espérance. GONOPÈRE s. f. (go-no-pè-re — du gr. ’ gonu, genou ; pera, sac). Zooph. Genre de polypiers, du groupe des miliépores, qui paraît devoir être réuni aux calamopores.

GONOPHORE s. m. (go-no-fo-re — du gr. gonos, semence ; phoros, qui porte). Bot. Prolongement du réceptacle qui part du fond du calice et.porte les étamines et le pistil. Il On dit aussi gynophore.

— s. f. Entom. Genre d’insectes coléoptères tétramères, de la famille des cycliques, tribu des cassides, comprenant deux espèces, qui habitent l’Inde.

GONOPLACE S. m. (go-no-pla-se — du gr. gonu, genou ; plax, plaque). Crust. Genre de crustacés décapodes brachyures, type de la tribu des gonophiciens : Le gonoflack rhomboïde habite lu Méditerranée. (H. Lucas.) II On dit aussi gonèpi.ace et gonoplaque. Encycl. Les gonoplaces, appelés aussi

goncplaces ou rhombilles, sont des crustacés voisins des ocypodes, dont ils se distinguent surtout par leur chaperon très-petit et par leurs yeux placés au sommet des pédoncules, et non sur le côté. Ce genre comprend deux espèces, qui vivent dans nos mers. Le gonoplitce rhomboïde a la front tronqué, le corselet uni et une épine sur la partie antérieure des côtés. Il habite la Méditerranée et l’Océan, et paraît vivre solitaire dans des eaux assez profondes et parmi les rochers. Il nage avec facilité, vient souvent à la surface de l’eau, mais n’en sort jamais. Il se nourrit de petits poissons et de zoophytes. Le gouuplace anguleux se trouve sur les côtes d’Angleterre.,

GONOPLACIEN, 1ENNE adj. (go-no-plasiain, ie-ue — rad. qtmoplace). Crust. Qui ressemble ou qui se rapporte au genre gonoplace.

— s. m. pi. Tribu de crustacés décapodes brachyures, ayant pour type le genre gonoplace.

GONOPLACITE adj. (go-no-pla-si-te). Crust. Syn. de gonoplacien.

GONOPSIDE s. f. (go-no-psi-de — du gr gonu, genou ; opsis, face). Entom. Genre d’in sectes hémiptères, de la famille des pentatomes, dont l’espèce type vit au Sénégal.

GONOPTÈRE s. f. (go-no-ptè-re — du gr. gonu, genou ; pteron, aile). Entom. Genre d’insectes lépidoptères nocturnes, voisin des orthosies.

— Encycl. Les gonoplères sont des lépidoptères nocturnes, assez voisins des ortho-