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partie postérieure de la poitrine, la voussure ne peut être appréciée qu’en dedans de l’omoplate, où elle se traduit par une saillie exagérée de l’angle des côtes ; et comme celles-ci forment une série continue, la voussure est disposée comme une espèce de bande verticale entre l’épine et l’omoplate. Lorsque la voussure occupe un côté de la poitrine, on remarque ce qui suit : le côté semble à la vue plus gros, plus arrondi, plus plein ; les côtes sont moins dessinées que du côté opposé, par suite de l’élévation des espaces intercostaux ; les mouvements sont moins appréciables à la vue et à la main. Dans la grande majorité des cas, c’est à la base du thorax, en arrière et en dehors, que la saillie est le plus prononcée ; et quand elle se manifeste en avant, c’est qu’elle est extrêmement développée en arrière. En faisant asseoir le malade et le regardant de profil, on voit la base de la poitrine dépasser en arrière et en avant le plan du côté sain ; si on le regarde de face, on voit le côté dilaté porté en dehors et quelquefois plus relevé que l’autre ; il arrive aussi que l’épaule est sensiblement soulevée. La mensuration ne fait pas toujours aussi bien apprécier que la vue les différences qui peuvent exister entre les deux côtés de la poitrine.

Un grand nombre de causes peuvent donner lieu à la voussure de la poitrine. Telles sont la tuméfaction simple des organes intra-thoraciques, des accumulations de gaz ou de liquides, des tumeurs solides, des abcès ; mais les maladies dans lesquelles on remarque le plus fréquemment la voussure du thorax sont : la pleurésie, la pneumonie, la congestion et l’emphysème des poumons et le pneumothorax. La pleurésie donne lieu à une voussure très-remarquable, mais variable. Quand l’épanchement est médiocre, c’est surtout la partie postérieure et inférieure du thorax qui se dilate, quelquefois la partie inférieure latérale ; les côtes s’écartent en s’élevant ; les espaces intercostaux s’élargissent et s’effacent. Si l’épanchement occupe le côté droit, on constate de plus l’abaissement du foie ; s’il siège à gauche, on reconnaît un abaissement de la rate et le refoulement du cœur du côté droit. La pneumonie donne lieu assez souvent à une voussure, mais celle-ci n’est pas constante. La bronchite, surtout chez les vieillards, donne aussi lieu à une voussure. L’emphysème pulmonaire est dans le même cas. Lorsqu’il est partiel, il occupe, dans la majorité des cas, le bord antérieur et le sommet des poumons ; il n’y a pas alors de dilatation générale, mais seulement un ou plusieurs points de voussure qui siègent en dehors des bords du sternum, ou bien au dessus ou au-dessous des clavicules. Quelquefois le sternum est aussi soulevé et porte en avant ; au niveau de ces points, la sonorité est exagérée, le bruit d’inspiration presque nul, etc. Enfin, dans le pneumothorax, on observe une dilatation partielle ou voussure, lorsque l’existence de fausses membranes ou d’adhérences limite les espaces dans lesquels l’air peut se répandre. Cette voussure occupe le plus souvent la partie latérale et inférieure de la poitrine.


VOÛTE s. f. (voû-te. — V. voussoir). Archit. Ouvrage de maçonnerie fait en arc, et dont les pièces se soutiennent les unes les autres : Voûte en plein cintre. Voûte en anse de panier, en demi-globe, Voûte surbaissée. Voûte en ogive. Cintre de la voûte. Il est constant aujourd’hui que les Égyptiens connurent l’art de construire des voûtes. (Batissier.)

Oh ! que j’aime, aux voûtes gothiques,
Les vieux saints de pierre athlétiques !

A. de Musset.

|| Clef de voûte, Voussoir qui occupe la partie supérieure de la voûte, et qui maintient tous les autres voussoirs, et fig. Objet principal dont tous les autres dépendent : Quand la clef de Voûte d’un système est une hypothèse, le système lui-même n’est qu’un jeu d’esprit.

— Par anal. Objet disposé en forme de voûte : La voûte d’une caverne, d’un antre. Une voute de feuillage. Les anciens faisaient du ciel une voûte de cristal, (A. Martin.)

.. Des marronniers les hautes avenues
S’arrondissent en voûte et nous cachent les nues.

Castel.

— Poétiq. Voûte du ciel ou des cieux, Voûte céleste, Voûte azurée, Ciel, firmament : Quel est donc le puissant architecte qui a suspendu sur nos têtes la voute immense des cieux (Fén.) La Vérité, chassée de la terre, a répandu son flambeau à la voûte des cieux : le génie l’y aperçoit encore. (Ch. Nod.)

Aimable Paix, vierge sacrée,
Descends de la voûte azurés.

J.-B. Rousseau

||Sous la voûte du ciel, Sur la terre, dans le monde :

..... Hélas ! nul mortel
Ne vit exempt de maux sous la voûte du ciel.

A. Chénier.

— Fr.-maçonn. Voûte d’acier, Suite d’épées croisées au-dessus de la tête des hauts dignitaires de la maçonnerie, par des maçons formant la haie sur leur passage.

— Mar. Voûte d’arcasse, Prolongement du pont, à l’arrière d’un navire. || Petite


voûte, Saillie située au-dessus de la voûte d’arcasse.

Techn. Partie antérieure de l’arc d’un fer de cheval, opposée à la pince. || Partie supérieure d’un fourneau à réverbère, qui est disposée en forme de dôme.

Anat. Voûte du crâne, Partie supérieure de la boîte osseuse que forment les os du crâne. || Voûte du palais ou Voûte palatine, Cloison qui forme la paroi supérieure de la bouche et la paroi inférieure des cavités nasales. || Voûte à trois piliers ou à quatre piliers, Partie du cerveau consistant en une lame molle, blanche, fibreuse, ayant la forme d’un triangle recourbé sur lui-même, et dont le sommet, tourné en avant et en bas, serait bifurqué.

Encycl. Archit. Le mot voûte, pris dans son acception la plus générale, donne l’idée d’une pièce courbe, qui conserve une forme déterminée en vertu des actions et des résistances qui lui sont appliquées. Les voûtes sont des constructions en pierre, en bois ou en métal, que l’art a imaginées pour remplacer les planchers et les combles, afin de les rendre plus durables et de les mettre à l’abri des incendies. C’est un assemblage de parties solides juxtaposées, auxquelles on a donné le nom de voussoirs. Ceux-ci sont séparés par des joints, le plus généralement normaux à la surface affectée par la voûte. Selon leur mode de génération, les voûtes sont en plein cintre, en arc de cercle, en anse de panier, en ogive ; elles sont surhaussées ou surbaissées. Outre ces voûtes, que l’on peut appeler voûtes cylindriques ou en berceau, à cause du mode de génération de leur surface intérieure, et qui sont mises en usage le plus habituellement, on distingue : les voûtes paraboliques, elliptiques et en chaînette ; ces trois dernières espèces sont, comme les premières, surhaussées ou surbaissées, suivant qu’elles sont construites sur le grand ou sur le petit axe. Il en existe encore de différentes formes, que l’on appelle : voûtes coniques, voûtes sphériques, conoïdes ou sphéroïdes. Ces voûtes, classées parmi les voûtes simples, sont formées par des lignes droites, allant d’une courbe à une autre ou d’un point à une courbe, ou bien par des courbes de même genre, posées les unes sur les autres et diminuant dans un rapport déterminé selon d’autres courbes qui se croisent sur l’axe ; ou bien encore par une courbe quelconque qui, en se mouvant autour de son axe, forme une surface composée d’autant de cercles que la courbe a de points. Les voûtes sont dites composées lorsqu’elles sont formées par la réunion de plusieurs parties de voûtes simples ; telles sont : les voûtes d’arête, à une, à deux ou à trois arêtes ; les voûtes à nervures ; celles en éventail ; les voûtes en arc de cloître, etc.

La surface intérieure d’une voûte se désigne sous le nom de douelle ou d’intrados, et la surface extérieure sous celui d’extrados. Les voûtes sont supportées par des piliers que l’on appelle pieds-droits, et les points où elles se raccordent avec ces derniers sont ce que l’on nomme les naissances. La montée d’une voûte ou la flèche est la hauteur verticale du sommet de l’intrados au-dessus des naissances. Le voussoir placé au sommet de la voûte prend le nom de clef, et celui qui est situé immédiatement au-dessus des naissances le nom de voussoir de retombée. Les voûtes sont droites ou biaises, selon que l’axe longitudinal coupe perpendiculairement ou obliquement l’axe transversal. Elles peuvent avoir leurs naissances de niveau ou inclinées, ce qui produit dans les voûtes simples beaucoup de variétés ; de plus, elles peuvent être irrégulières, incomplètes ou composées de différentes parties combinées d’une infinité de manières, susceptibles de plus ou moins de difficulté. Les voûtes pratiquées dans des murs ou des massifs prennent le nom d’arcs ou arcades ; les joints de leurs voussoirs forment des angles ou crossettes pour se raccorder avec les assises horizontales de ces murs ou massifs. Ces arcs, qui peuvent être droits ou biais, se font dans des murs aplomb, en talus, circulaires en plan ou en tour ronde. La rencontre d’une voûte cylindrique avec une autre forme, dans celle qui est pénétrée, une espèce d’évidement qu’on appelle lunette. La forme de cette dernière varie avec le diamètre et la direction des voûtes qui se rencontrent ; de là sont sorties : les lunettes droites, résultant de deux berceaux qui se pénètrent perpendiculairement et horizontalement ; les lunettes biaises, lorsque la rencontre a lieu obliquement et horizontalement, et les descentes, lorsque l’obliquité d’un berceau qui en pénètre un autre, est dans le sens de la hauteur. Ces dernières sont, comme les lunettes, droites ou biaises, selon que la direction de la projection sur le plan horizontal de l’axe de la descente est perpendiculaire ou inclinée à celle de la voûte rencontrée. Les voûtes d’arête peuvent être formées par plusieurs berceaux espacés également ou inégalement, parallèles entre eux ou obliques, de niveau ou inclinés ; enfin, elles peuvent présenter une infinité de combinaisons différentes, dont le nombre peut être encore augmenté par la variété des courbes que l'on peut employer pour cintre primitif. Ces voûtes se projettent, soit sur un plan rectangulaire régulier ou irrégulier, soit sur un polygone régulier ou irrégulier, soit sur un plan circulaire ou elliptique. Elles sont de niveau ou surhaussées ; dans le premier cas, les voûtes qui se croisent ont une montée constante dans toute leur longueur, de telle sorte que leur point de rencontre est placé au point de croisement des génératrices horizontales des berceaux ; dans le second cas, ce point est placé à une hauteur plus grande des naissances des voûtes primitives que la clef de ces dernières. C’est par le recoupement de voûtes en arcs ogivaux que sont formées les voûtes gothiques ; on pourrait, avec n’importe quelle courbe, construire de même des voûtes d’arête surélevées. Ces sortes de voûtes ne sont, à proprement parler, qu’une combinaison d’arcs droits qui se réunissent à une clef centrale ou à plusieurs clefs particulières, selon qu’elles sont à une, à deux ou à trois arêtes. Les voûtes en arc de cloître, comme les précédentes, peuvent présenter une infinité de combinaisons différentes, soit comme construction, soit comme projection. Elles s’exécutent sur des quadrilatères ou des polygones réguliers ou irréguliers, ou sur des plans circulaires et elliptiques. Ces sortes de voûtes sont appelées barlongues lorsqu’elles sont projetées sur un plan rectangulaire, c’est-à-dire lorsqu’elles ont deux côtés opposés plus longs que les deux autres. Elles ont sur les voûtes d’arête l’avantage de pouvoir soutenir un plafond, en leur milieu ; ce mode de construction est fréquemment employé pour les grandes salles, dans les édifices importants. Les voûtes coniques et conoïdes sont celles dont la surface intérieure est celle d’un cône, ou dont la forme se rapproche de la figure de ce solide. Ces voûtes sont droites, biaises ou inclinées, à simple ou à double embrasement, selon qu’elles sont percées perpendiculairement ou obliquement, horizontalement ou dans une inclinaison avec l’horizon, dans un mur droit ou en talus. Les voûtes coniques, érigées sur deux murs qui forment un angle, de manière que le cintre de face représente la base du cône, prennent le nom de trompes ; dans ce cas, elles sont droites, dans l’angle rachetant un angle saillant, ou dans l’angle rachetant une tour ronde, selon qu’elles sont construites pour supporter un mur droit en saillie sur un autre, ou deux murs se rencontrant suivant un angle saillant, ou un mur circulaire. Les voûtes conoïdes sont engendrées par une droite qui s’appuie sur uns droite et une courbe et se meut parallèlement à un plan donné. La courbure de ces sortes de voûtes peut être quelconque : hyperbolique, parabolique, etc., et leur base, circulaire, ovale ou elliptique. Les voûtes sphériques sont formées en plan et en élévation par une demi-circonférence de cercle de même rayon. Ces voûtes, qui peuvent être construites aussi sur plan carré, sont si avantageuses, qu’on peut les couper en deux ou plusieurs parties égales par des plans verticaux passant par le centre. Ces parties de voûtes sphériques ou dômes prennent les noms de niches et de trompes en niche sur le coin. Les voûtes sphéroïdes peuvent être projetées sur des plans circulaires ou elliptiques ; les premières, désignées aussi sous le nom de voûtes sphériques surbaissées ou de voûtes en cul-de-four, et encore de voûtes sphériques surhaussées, ne diffèrent des voûtes sphériques que par la courbe de leur cintre, formée par une ellipse ou imitation d’ellipse, au lieu d’une demi-circonférence de cercle. Les voûtes sphéroïdes sur un plan elliptique ont leur surface intérieure produite par l’ellipse du plan qui a tourné autour de son grand axe ou grand diamètre ; en sorte que toutes les coupes ou sections verticales qui sont faites dans le sens de la largeur, parallèlement au petit axe ou petit diamètre, sont des demi-circonférences de cercle. Les parties de voûtes sphériques ou sphéroïdes qui résultent du retranchement de plusieurs portions de ces voûtes par des plans verticaux et horizontaux prennent le nom de pendentifs. Ces sortes de voûtes sont employées pour établir un plan circulaire ou elliptique sur un plan carré ou rectangulaire, ou sur un polygone quelconque dans lequel il paraît inscrit. Les dômes élevés au-dessus de la croisée des nefs d’une église sont érigés de cette manière. À ces différentes espèces de voûtes, qui représentent à peu près toutes celles qu’on a employées jusqu’à ce jour dans la construction des édifices, on peut ajouter les suivantes : la trompe en tour ronde sur un mur droit et les vis de Saint-Gilles rondes et carrées, dont on fait usage pour soutenir un escalier tournant autour d’un noyau plein ou évidé, et qui ne sont qu’un composé de voûtes d’arête et d’arcs de cloître.

Rondelet, dans son Traité sur l’art de bâtir, admet que le point de départ de la construction des voûtes a été l’emploi des pierres plates pour recouvrir les espaces vides. Ce genre de couverture, auquel on ne peut donner le nom de voûtes puisqu’il ne se composait que d’une seule pièce, a d’abord été formé d’une pierre plate posée horizontalement sur deux appuis extrêmes, puis de trois ou plusieurs pierres assises en saillie les unes sur les autres, de manière à couvrir l’espace vide et à obtenir une surélévation du plafond. À ces constructions, qui ont l’avantage de se soutenir sans poussée, mais qui sont rarement possibles, a succédé l’emploi des pierres plates posées obliquement sur les appuis et se contre-butant au sommet, ou disposées en forme de polygone. De cette der-nière forme à celles qui sont adoptées aujourd’hui, il n’y avait qu’un pas à franchir, mais il ne le fut pas aussi rapidement qu’on pourrait le penser. Le mode de construction employé jusqu’alors ne permettait pas aux constructeurs anciens de se rendre un compte immédiat des effets que produirait l’emploi d’une courbe, principalement comme résistance ; en effet, dans le cas des couvertures horizontales, les pierres sont soutenues sur leurs lits dans toute leur étendue, tandis que, dans une voûte dont le cintre est un demi-cercle, par exemple, il ne paraît y avoir que les deux premières qui posent, toutes les autres ne se soutenant que par leurs joints, en vertu de leur forme en coin. Ces joints, qui sont plus ou moins obliques, doivent former, avec la surface courbe de la voûte, des angles égaux et droits, afin de procurer à chaque pierre une résistance égale et, de plus, une espèce de renvoi régulier des efforts d’une pierre à l’autre, depuis celle qui forme la clef jusqu’à celles qui portent sur les pieds-droits.

On admet, en général, que la première forme d’intrados fut la ligne circulaire, comme étant la plus facile à imiter. Après elle, et avec les progrès de la science, sont venues : les lignes paraboliques, elliptiques, hyperboliques, ainsi que la chaînette, la cissoïde et la cassinoïde.

L’appareil des voûtes, en général, varie avec la position qu’elles occupent dans l’espace et leur but. Le tracé et la coupe de chacune des pierres qui entrent dans leur construction sont du ressort de cette partie de la géométrie descriptive à laquelle on a donné le nom de stéréotomie. Nous n’entrerons pas dans le détail de ces tracés, qui varient avec la direction des efforts ; nous nous contenterons de donner ici les croquis représentatifs des diverses formes de voûtes, avec le mode de génération propre à chacune d’elles.

Les voûtes en plate-bande sont de deux sortes : elles sont appareillées ou non appareillées. Ces dernières, employées par les anciens pour former les architraves des entre-colonnements pycnostyle, systyle et diastyle, étaient formées de pierres de grande dimension s’appuyant par leurs extrémités sur les colonnes et se touchant dans l’axe de celles-ci. La figure 1 fait voir la disposition adoptée pour ce genre de voûtes.

Fig. 1.

Les plates-bandes appareillées, représentées par la figure 2, et dont on fait un très-grand usage aujourd’hui pour couvrir les baies des fenêtres et des portes, semblent avoir été appliquées pour la première fois dans l’émissarium du lac Albano. Elles sont formées de voussoirs taillés en coin, de manière à empêcher le glissement d’une ou plusieurs d’entre elles. Ces voûtes plates, comme on le voit, sont établies sur des principes complètement opposés à ceux qu’on admet dans la construction des voûtes à surface courbe, pour lesquelles les joints des pierres qui se touchent doivent faire des angles droits et égaux avec les surfaces apparentes qu’elles

Fig. 2.


forment. Il faudrait, d’après ce principe, que les joints d’une voûte plate fussent verticaux ; mais, comme il ne peut exister de cohésion suffisante entre des pierres jointes ensemble par des plans verticaux, on n’a pu obtenir cet effet qu’en déterminant sur les pieds-droits, au moyen de plans inclinés, des efforts latéraux, d’où résulte