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lour plus ou moins élevée bâtie soit sur une côte, soit en mer sur un rocher, soit près par». ; un «-«un u „, , ucii«, H""™".H- d> ’, d.une rade dttngereuse, et SUrnlonace, fais dArtaban II, roi des PartliM.. é £ >f, , ^ d’urant, a nuit

ir venger la mort d Arsace Artaban en- d 11. t du j ou

a en Arménie un autre de ses ils, Orose, H «a iir •. „, .., .„„«, .- nlIfi rfrésen PHAÎi

du côté des Égyptiens, les extermina, renversa les chars de leurs roues et les entraîna au plus profond de l’abîme. Epouvantés, les Égyptiens voulurent fuir. Soudain Maien-Taku étendit la main contre la mer et, aux premières clartés du jour, les vagues, rentrant dans leur lit avec fracas, submergèrent l’armée de Pharaon, qui descendit tout entière, comme un plomb, sous les grandes eaux.Ftavit spiritus tuus, ei opérait eos mare : aubmersi sunt quasi plumbum in aquis vehementibus. (Exode.)

PHARAONE s. f. (fa-ra-o-ne). Moll. Coquille univalve nommée vulgairement bouton de camisole.

PHARAONIEN, IENNE adj. (fa-ra-o-ni-ain, i-è-ne). Qui appartient aux pharaons.

Monument pharaonien, Monument qui a été construit par les pharaons ou qui, par les caractères de son architecture et ses proportions gigantesques, a du rapport avec les édifices de leur époque : Ce groupe mélancolique ajoutait encore à la solitttde profonde du lieu et donnait une teinte égyptienne à cet entassement pharaonien. (Th. L’aut.)

PHARAONIQUE adj., (fa-ra-o-nt-ke — rad. pharaon). Qui appartient aux pharaons ; qui rappelle les pharaons ou leur époque : Monuments pharaoniques. Sous le rapport de la perfection comme de la grandeur des travaux, le dernier siècle de l’empire pharaonique parait avoir eu peu de chose à envier au temps de Jthamessès. (Letronne.)

PHAUASMAIVE 1er, roi d’Ibérie ou de Géorgie ; il vivait au i«r siècle de notre ère, 11 était roi d’Ibérie, lorsqu’en 35 il aida, avec le concours des Romains, son frère Mithrulate à s’emparer du trône d’Arménie, possédé par

Arsace. "

Pour

voy

. avec une armée de Parthes ; mais Pharasmane courut au secours de son frère et remporta sur Orose une grande victoire. Par la suite, pour se débarrasser de son fils Rhadamiste, qui était impatient de régner, Pharasmane abandonna la cause de son frère Mithridate et seconda l’entreprise de Rhadamiste pour s’emparer du trône d’Arménie (53). L’usurpation de ce dernier, les cruautés qu’il commit excitèrent contre lui l’indignation gérale. Forcé de fuir devant une invasion des Parthes, il se retira en Ibérie ; mais Pharasmane, à qui son ambition inspirait de grandes inquiétudes, le fit mettre à mort. En 58, à l’instigation de Corbulon, le vieux roi d’Ibérie tenta une nouvelle invasion en Arménie. On ignore quelle en fut l’issue et depuis lors il n’est plus question de lui dans l’histoire.PharaSma.nk II, roi d’Ibérie, fils de Bartos, régna de 72 à 87 et prit pour siège de son

Ipouvoir la forteresse Annazi. Sous son règne, eroi d’Arménie Erovant envahit l’Ibérie, prit Tzounda, Artliani et soumit tout le pays jusqu’au Cyrus. Phiirasmane dut se reconnaître tributaire de ce prince, à qui il amena des secours contre Ardaschès.— Pharasmanb III, roi d’Ibérie, succéda, en 113, à son père Haroazasp et mourut vers 128. Il’acquit la réputation d’un prince courageux, devint un ennemi irréconciliable de Mithridate, qui régnait dans une partie de l’Ibérie, entra en guerre contre lui, le vainquit à plusieurs reprises et fut empoisonné par ses ennemis.Pharasmane IV, fils d’Adam, mort vers 182, eut pour successeur son fils Hamazasp. Son règne n’est signalé par aucun événement.FharasmaNH V succéda, en 405, à son frère

Tiridate, chassa les Persans de la Géorgie et mourut en 408. — Pharasmane VI succéda k Pacorusen 528, sur le trône d’Ibérie, et vit son royaume plusieurs fois ravagé par les Persans.

— Son neveu, Pharasmane VII, lui succéda en 552 et mourut en 557, sans que son règne eût été signalé par aucun événement remarquable.

PHARBÉTIS, ville de l’ancienne basse Égypte, chef-lieu du nome Pharbétite, à l’O. de la branche Bubastique du Nil.

PHARBITIS s. m. (far-bi-tiss—dagv.pharbé, teinture, par allusion k la t’.mleur variée de la fleur). Bot. Genre de plantes grimpantes de la famille des convoi vulacées, tribu des convoi vulées, formé aux dépens des liserons, comÏirenunt plusieurs espèces, qui croissent dans es régions tropicales, et dont l’espèce type est connue sous le nom vulgaire de volubilis.

PHARE s, m, (fa-re — lat, pharus, du grec Pharos, nom d’une île située près d’Alexandrie. Ptolémée Philadelphie, roi d’Égypte, y lit élever une haute tour de marbre blanc, d’où l’on découvrait les vaisseaux à 100 milles en mer. Cette tour prit le nom de l’île et fut comptée au nombre des sept merveilles du monde. Quelques-uns prétendent que l’île a pris le nom de la tour, qui, la première, aurait été nommée Pharos, de phaâ, briller, qui se rapporte à la racine sanscrite bhû, même sens, laquelle a fourni un grand nombre de dérivés aux langues indo-européennes. La signification de brillant, qui est celle de pharos, conviendrait certainement beaucoup mieux à la tour qu’à l’Ile elle-même, pour laquelle cette dénomination serait complètement inexplicable ; mais il est très-difficile d’admettre cette explication, car l’île s’appelait Pharos sept ou huit cents ans avant Ptolémée Philadeiphe, puisqu’on trouve déjà ce nom dans Homère. Il serait possible cependant que cette

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Ile eût possédé un phare dès ces temps reçu- I lés, et que Ptolémée Philadelphie n’eût fait que relever ce phare dont la tradition popufaire aurait conservé le souvenir). Tour construite sur le bord de la mer ou sur une lie et où l’on tient des feux allumés pendant la nuit, pour guider les vaisseaux qui approchent des côtes : Construire un phare. Il Fanal placé sur la tour : La lumière du. phare. Phare à feu fixe. Phare à éclipse. Le moyen d’empêcher un vaisseau de se briser contre les écueils voisins du port est-ce d’éteindre les phares î (E. de Gir.)

.. Du haut d’un mont apparaît sur les flots Le pfiare solitaire, espoir des matelots.

Aiotus.

— Par ext. Lumière servant à guider : Voyez cette mouche gui luit d’une clarté semblable à celle de la lune : elle porte avec elle te phare qui doit la guider. (A. Martin.)

— Fig. Ce qui éclaire, ce qui sert k se di : riger : Mirabeau, O’Connell, phares immenses, assis aux deux extrémités du cycle révolutionnaire, comme pour l’ouvrir et pour le fermer. (Cormen.) Deux ou trois idées fixes gui ont servi de phare à l’Angleterre ont suffi pour lui donner dans le monde la première place. (E, de Gir.)

— Mar. Ensemble du gréement d’un navire. Il Phare de l’avant, Mât, vergues et voile de misaine. Il Phare de l’arrière, Grand mât avec son gréement. il Phares de l’arrière, Grand mât et mât d’artimon avec leur gréement.

— s. f. Bot. Syn. de phartjs.

— Encycl. Un phare est généralement une

pour leur signaler les dangers que présen tent certains points du rivage.

Ce que nous venons de dire s’applique aux phares nommés fixes, par opposition aux phares ou feux flottants établis dans les endroits où il y a impossibilité d’en établir d’autres, et qui se composent, la plupart du temps, d’un bateau ponté, avec un grand mât, au haut duquel on hisse un appareil d’éclairage. Il y a eu des phares de toute antiquité ; Homère fait allusion aux feux qui dirigeaient les navigateurs de cette époque incertaine. LeplusancienpAaredontl’histoire fasse mention est celui du promontoire de Sigée ; le Pirée et la plupart des ports de la Grèce avaient des phares. Le plus célèbre est celui que construisit Ptolémée Philadelphe (270 av. J.-C.) à l’entrée du port d’Alexandrie ; ce phare passe pour avoir donné à tous les appareils et constructions du même genre son propre nom, qu’il tirait lui-même de l’île de Pharos, sur laquelle il s’élevait. Les historiens rapportent que du haut de cette tour de mille coudées de hauteur, et dont le nombre d’étages a souvent été discuté, la vue s’étendait jusqu’à 100 milles en mer. L’habile ingénieur de cette tour, une des sept merveilles du monde, était le Gnidien Sostrate. Ce phare fut détruit en 1303 par un tremblement de terre.

Les Romains ont construit un grand nombre de phares k l’imitation de celui d’Alexandrie ; c’est sur le même plan, d’après Suétone, que Tibère en fit élever un à Ostie. L’Ile de Caprès possédait un phare qui s’écroula dans un tremblement de terre, peu de temps avant la mort de Tibère. Pline parle des phares de Ravenne et de Pouzzoles. Les côtes de France et de la Grande-Bretagne étaient rendues plus facilement abordables au moyen de phares datant de la domination des Romains dans les Gaules ; en 1643, on voyait encore les ruines de celui de Boulogne-sur-Mer, qui servait à guider les bâtiments traversant la Manche. Ce phare se nommait depuis des siècles Turris ordens ou Turris ordensis, ce que les Boulonais avaient traduit par Tour d’ordre, quoique Turris ordens semble une corruption de turris ardens, tour enflammée. Ce phare finit de s’écrouler en 1644.

Longtemps les phares n’ont été éclairés que par des feux de bois ou de charbon, des torches de résine enflammée ou des lampes grossières. L’invention des lampes à double courant d’air par Argant (1784) fut un progrès réel. Enfin, en 1819, lorsque Arago, Mathieu et Fresnel cherchèrent d abord si le système d’éclairage ne pouvait pas être perfectionné, ce dernier (1821) imagina les réflecteurs paraboliques et les lentilles à échelons. Ce fut en 1865 seulement qu’on essaya en France, aux phares de la Hève, l’emploi de la lumière électrique. Depuis plusieurs années cette importante question était à l’étude, et de 1848 à 1857 de noi>-breuses expériences avaient’été faites au niuPée des phares.- On cherchait k utiliser la pile voltaïque, la seule dont on disposât au début de l’expérience ; mais si ce genre d’appareil fournissait un arc lumineux suffisant, la discontinuité du courant amenait des extinctions qui rendaient l’emploi des piles impossible. On en était lk, lorsque le physicien Faraday découvrit les courants d’induction et permit ainsi de reprendre des expériences auxquelles on semblait avoir définitivement renoncé. Deux ans après cette

découverte (1859), le nouvel appareil était employé, en Angleterre, à l’éclairage du phare de South-Foreland.

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L’appareil placé à la Hève, le premier de ce genre qui ait été installé en France, se compose de machines électro-magnétiques à six disques chacune et mises en mouvement par deux machines k vapeur ; les courants qu’elles font naître se rendent par des câbles conducteurs aux régulateurs des lampes électriques destinés, comme on sait, à maintenir les charbons à une distance constante, afin que l’arc lumineux conserve la même dimension et qu’il ne puisse se produire, entre les charbons qui susent inégalement, une distance telle que le courant en soit interrompu. Avant d’en finir avec cet historique sommaire, disons que la lumière électrique est employée presque partout où la dimension des phares permet d’installer les appareils électromagnétiques et toutes les provisions d’eau et de charbon nécessaires au fonctionnement des machines à vapeur qui les mettent en mouvement.

Les phares de France sont partagés en

?uatre classes de grandeur et de portée difèrentes.

Les phares du premier ordre, espacés en général de quatorze lieues marines, servent à reconnaître les parages et permettent aux bâtiments de corriger les erreurs de ’ direction commises par eux, ou de relever exactement le point où ils se trouvent. Les phares du deuxième et du troisième ordre, ordinairement placés sur les écueils, servent à’ indiquer ces points dangereux, les baies et les rades foraines. Enfin, les phares du quatrième ordre, placés généralement à rentrée des ports, servent à éclairer les passes ou J’embouchure des fleuves.

Les phares sont à feux fixés ou à éclipse. Le plus grand nombre est k éclipse. Les feux placés sur les côtes, ayant pour but à la fois d’éclairer les parages voisins et de faire connaître aux navires en mer le point où ils sont allumés, on s’expliquera facilement cette mobilité des feux, et, si l’on tient compte de ceci, que lespAareSjde toute grandeur.sont situés, en moyenne, k sept lieues marines les uns des autres, on comprendra qu’il ne soit pas utile de recourir à de nombreuses combinaisons, puisque deux feux semblables se trouveront toujours l’un de l’autre à "une distance supérieure à l’écart ou erreur que pourrait faire un navire en route.

Dans les feux à éclipse, la durée relative de l’éclipsé et de l’éclat varie pour l’observateur avec la distance à laquelle il se trouve, mais la temps qui sépare une éclipse rie la suivante est constant et fournit le caractère distinctif du feu. Quelques phares offrent aussi un feu constant varié par des éclats périodiques très-brillants. Enfin, on avait essayé l’emploi de verres de couleur pour caractériser les feux ; mais on a du y renoncer à peu près absolument, les verres de couleur absorbant une trop grande quantité de lumière. Il en existe encore cependant quelques-uns.

La construction d’un phare exige beaucoup de soin et demande une étude préalable sérieuse du terrain sur lequel on doit construire. Il va de soi que les procédés employés varient suivant le lieu où s’exécute la construction. Si le phare doit être situé en terre ferme, l’opération est relativement simple et l’on peut, soit construire un échafaudage important, comme on procède pour la construction des grands édifices publics, soit se contenter d’un échafaudage léger qui s’élève avec la tour elle-même. Ce dernier procédé est le seul qui soit employé lorsqu’il s’agit d’élever un phare sur un rocher présentant peu de surface. Si, comme cela s’est souvent rencontré, le phare doit être construit à fleur d’eau, ou même avoir sa base sur un rocher immergé, des précautions particulières doivent être prises, et la base future de l’édifice doit être sérieusement examinée. Le montage des matériaux est une partie très-importante de la construction ; généralement, on utilise pour ce service de petites machines à vapeur qui sont installées sur des bateaux ad hoc lorsqu’on travaille en pleine mer. Si le travail s exécute en terre ferme, le service est fait au moyen d’un treuil mû, suivant le cas, à bras ou par la vapeur. Lorsque le phare ne possède point de vide continu a son intérieur, on installe, le plus ordinairement, sur l’échafaudage, une petite grue tournante et à volée mobile qui monte les pierres et les dépose où elles doivent être scellées. Il serait inutile d’ailleurs d’insister sur ce point ; car les constructeurs, obligés de tenir compte du milieu où ils opèrent et de l’espace où ils peuvent se mouvoir, adoptent, au mieux de leurs intérêts, ce qui leur paraît devoir fournir les meilleurs résultats.

Un dernier mot cependant sur ce point. Lorsqu’un phare doit être construit sur une roche que découvre seulement la marée basse, le travail devient très-difficile et même très-dangereux. Pour l’entreprendre, on attend

que le rocher soit découvert ; puis, lorsque les assises sont posées, le travail doit être continué, coûte que coûte, h moins de mauvais temps exceptionnel, toutes les fois que la roche se découvre. Quand la roche sur laquelle on veut construiréest d’une certaine étendue, on construit d’abord sur elle un eniochement solide et qui permet aux ouvriers de prendre pied. Cette première dépense, indispensable si l’on veut obtenir un travail

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Nous citerons comme spécimen d’une construction de ce genre celle du phare d’Armeu, construit sur l’Ile Sein (Finistère). La roche sur laquelle s’élève ce phare n’était abordable que par les marées exceptionnellement basses et durant les aimées 1807,1808 et 1869, on n’avait pu aborder que douze fois. En 1871, on avait abordé douze fois, travaillé 22 heures et construit 23 mètres de maçonnerie. En 1873, les travaux avaient coûté 189,000 francs, et le phare s’élevait à quelques mètres au-dessus de l’eau. Il avait donc {alla près de cinq ans pour poser les assises du phare. Les plus grands périls avaient été courus par les ouvriers, qui tous appartenaient à la marine, et le courage déployé par ces travailleurs, dirigés sur place par MM. Joly et Lacroix, ingénieurs et constructeurs, avait seul pu triompher de tant de difficultés.

Après avoir parlé de la construction des phares, aais allons nous occuper de leur éclairage...

Jusqu’au jour où M. Fresnel construisit des lentilles k échelons, on se servait, pour projeter au loin la lumière, de miroirs paraboliques en métal poli. La lumière de la lampe se trouvait être ainsi réunie en un faisceau cylindrique de rajons parallèles. Les feux fixes étaient obtenus par l’emploi d’un assez grand nombre do miroirs qui dirigeaient les faisceaux vers tous les points de l’horizon. En 1782, un Suédois imagina, pour obtenir les éclipses, dont il comprenait toute l’utilité, de faire tourner les miroirs ; pour arriver k ce résultat, un Français, Lemoyue, avait songé à faire tourner un écran qui passait k intervalles réguliers devant les lampes. Les miroirs employés k cette époque étaient de métal ; ils se ternissaient rapidement et étaient d’un poids énorme ; on les a totalement abandonnés aujourd’hui et ils sont partout remplacés par des verres lenticulaires.

Ce court aperçu sur ce qui existait au moment où MM. Arago et Fresnel substituèrent aux anciens appareils leur lampe a double courant d’air et k mèche concentrique, suffira à faire comprendre combien l’éciairage des phares a.fait de progrès depuis le commencement de ce siècle.

Nous allons décrire avec soin les appareils de ces deux savants. Les figures 1 et 2 re Pig. 1 et Fig. 2.

présentent un bec à quatre mèches pour phare du premier ordre. Ce bec reçoit constamment un excès d’huile au moyen de petites pompes analogues à celles qui fonctionnent dans les lampes Carcel et mises en jeu par un peut mouvement d’horlogerie. Une forte cheminée en verre enveloppe les mèches ; cette cheminée est surmontée d’un tuyau en tôle qui peut s’allonger ou se raccourcir et, du même coup, augmenter ou diminuer le tirage (voir fig. 3). Ce tuyau est garni d’une clef analo îier et ne point exposer la vie des ouvriers, élève le prix de revient du phare, mais est largement compensée par la solidité de la construction.

gue k celles qui, dans les poêles ordinaires, servent à régler le courant d’air. À cette lampe est adapté un petit appareil très-ingénieux et qui sert k prévenir le gardien au cas où quelque dérangement viendrait arrêter le fonctionnement de l’appareil..Voici comment fonctionne ce réveil : I excès d’huile amené aux mèches par les petites pompes, dont il est parlé plus haut, tombe goutte k goutte dans un petit godet percé k sa base d’un trou assez petit pour que la quantité d’huile qu’il laisse échapper soit sensiblement égale à celle qu’il reçoit. Le niveau de l’huile dans le godet ne doit donc pas baisser et, par "suite, son poids doit demeurer constant. Or, supposons que les petites pompes, pour une raison quelconque^ cessent de fonctionner ; le godet, continuant h se vider