Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/254

Cette page n’a pas encore été corrigée


Que tout, ruches et nids, fourmille en ce beau lieu ;
Que la vie en sa fleur fête ma sépulture,
Pour que mon âme, encore, entende au sein de Dieu
Tes voix que j’essayai de traduire, ô Nature !