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TABLE DES MATIÈRES.

XXXXXXI

çaise ; exceptions individuelles. Charles d’Orléans : esprit et grâce. — 2. Brutalité et grossièreté de l’esprit du temps. Le sentiment national et l’idée de la mort. — 3. Villon : sa vie, sa poésie. Sincérité de l’impression et du sentiment. Inspiration lyrique : personnelle et humaine. — 4. Commynes : sa vie, son caractère, son intelligence ; les idées directrices de Commynes ; sa philosophie. — 5. Fin de la poésie féodale : les grands rhétoriqueurs.

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LIVRE II

LITTÉRATURE DRAMATIQUE

Chap. I. — Le théâtre avant le quinzième siècle.

1. Origines religieuses du théâtre du moyen âge, drames liturgiques. Introduction de la langue vulgaire ; drame plus populaire et moins clérical. La Représention d’Adam. Les Prophètes du Christ. Le Jeu de Saint-Nicolas, de Jean Bodel (xii^e siècle). Le Miracle de Théophile, de Rutebeuf (xiii^e siècle). Les Miracles de Notre-Dame (xiv^e siècle). — 2. Origines du théâtre comique. Adam de la Halle : le Jeu de Robin et de Marion, et le Jeu de la Feuillée (xiii^e siècle) ; originalité d’Adam de la Halle.

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Chap. II. — Le théâtre du quinzième siècle (1450-1550).

1. Les Mystères. Le Vieux Testament ; la Passion ; les Actes des Apôtres. Caractère pieux des représentations. Leur organisation. Art à la fois réaliste et conventionnel. Scènes populaires et triviales. Valeur littéraire des mystères. Les Confrères de la Passion. — 2. Théâtre profane et comique. Basoche. Enfants sans souci. Sotties, moralités, farces. Grossièreté des farces, leur esprit. La Farce de maître Patelin : expression comique de types observés et vivants.

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TROISIÈME PARTIE

LE SEIZIÈME SIÈCLE

LIVRE I

RENAISSANCE ET RÉFORME AVANT 1535

Chap. I. — Vue générale du seizième siècle.

1. La « découverte de l’Italie ». — 2. Tendances pratiques et positives de la Renaissance française. Les divers moments du xvi^e siècle : confusion, puis séparation et organisation. Résultats.

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Chap. II. — Clément Marot.

Les premières années du xvi^e siècle : les poètes d’Anne de Bretagne. — 1. Le roi François I^er. Humanisme, hellénisme ; libres études et raison indépendante. Érudits et traducteurs. — 2. La reine de Navarre ; mélange en elle du moyen âge, de l’Italie et de l’antiquité, de la Renaissance érudite et de la Réforme religieuse. — 3. Clément Marot. Son protestantisme. Ses attaches au moyen âge, à l’Italie, aux Latins. Son caractère et son talent. Sa place dans le mouvement général de la littérature. — 4. Le pétrarquisme : Mellin de Saint-Gelais. La chevalerie : l’Amadis.

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