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XIII
AU CERCLE
Un matin, Pé-Kang reçut de Didier la lettre suivante :
« Cher mandarin,
« Ce soir, vers neuf heures, j’irai vous prendre, et, si vous y consentez, je vous conduirai à mon cercle. Je veux vous faire faire la connaissance de deux hommes d’une grande distinction, que vous rencontreriez difficilement dans le monde.
« Bien à vous,
« Didier. »