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C’est un bon diable, c’est un bon diable,
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Tes beaux écus, tes beaux écus,
Pour moi ne sont pas disparus.


Jacques Rusot vécu plusieurs années d’une vie tranquille et heureuse, l’âge et les épreuves l’avaient assagi : il fit mentir le vieux proverbe « Farine du diable retourne en son ». L’argent soutiré des mains impures, il l’employa à faire la charité aux pauvres. Le tour joué au « malin » avait été son dernier marché.