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« Mais combien seraient plus utiles encore des trains qu’on pourrait facilement organiser !
« À l’époque de la moisson, les faucheurs du Nord, belges, picards, descendent dans le centre de la France ; les pauvres gens font à pied, les uns cinquante à quatre-vingts lieues, les autres cent à deux cents.
« Il résulte de ce déplacement une fatigue extrême, une perte de temps considérable à une époque où les bras des travailleurs manquent partout.
« Les franciers reviennent malades, développent des épidémies, et font courir à la santé publique un danger réel.
« Il s’agirait de transporter sur des points donnés, à des prix équivalents à ceux des trains de plaisir, moindres même s’il se pou-