si, après avoir pris la somme d’un nombre quelconque de termes de l’une
ou de l’autre série, on en regarde le reste comme une progression géométrique, l’erreur sera toujours moindre que la somme de cette progression ; ainsi il sera aisé de juger de la quantité de l’approximation.
74. Supposons donc
et
et nous aurons
ou bien
en faisant, pour abréger,