je multiplie donc cette équation par un coefficient indéterminé et je l’ajoute à l’équation (M) ; j’ai, à cause de égaux à zéro,
d’où je tire pour le mouvement du fil
et la troisième équation sera la même que dans l’Article précédent.
XXXI.
Scolie II. — L’équation (N) étant multipliée par un coefficient indéterminé et ensuite ajoutée à l’équation (M), on a en général
Les termes affectés du double signe fourniront d’abord pour le mouvement général du fil les mêmes équations que dans l’Article précédent ; ensuite les autres termes affectés simplement du signe donneront l’équation
d’où l’on tire les conclusions suivantes :
1o Si le fil est fixement arrêté à ses deux extrémités, les différences