Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 09.djvu/444

Cette page n’a pas encore été corrigée
Madame Pérugin.

Eh bien, il est à Ville-d’Avray !

Pérugin.

les Carbonel l’emportent.

Madame Pérugin.

Ils sont si intrigants ! la femme surtout ! Quant à votre M. Maurice, je ne le regrette pas, c’est un sauteur !

Pérugin.

un drôle !

Madame Pérugin.

Ah ! qu’il y revienne !… je le recevrai bien.

Pérugin.

J’aurais du plaisir à lui flanquer ma porte au nez.

Madame Pérugin.

Et c’est pour lui que vous avez congédié M. Jules Priès… un charmant garçon…

Pérugin.

Ce n’est pas moi… c’est toi… Mais je t’ai ménagé une surprise, il va venir.

Madame Pérugin.

Qui ça ?

Pérugin.

L’architecte… Voyant que l’autre nous abandonnait… je me suis décidé à écrire hier soir à Jules.