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Ë-PiD ou£pAD, pTÈf^.Vf’Xfdunl. Durant Ji ah a c’hlaô a zo kottézcl iyàdfinn dcUiou-ma, il n bcaucou]) plu pcndaiil ces jours-ci. A 1» Içltvc, ïi-i’E«,. Voyez, Oc’iii’ENN.

£-«Éz, prép. lU’z. Tout çùifff&.. $TréX/mw âouar é nij, i ’ic rez terre.

É-SKOyiz ou ïisKOAZ, prcp.Kn romparaison de.ComparaliveiiK’nl A. Anpiisilc. Au prix de, An7idrü-zé it’eo ni’uà éskvpz.ar [u’z eut (üz ytvii-^ Ict, cela n’csl rien tu tiitiipaiaisuri de ce q^iic j’ai vu. Ce mol est çomfiosé de é, ^n, el de skoaz, cpauk-, ou xle iÂü(jifi,api|)ui,,sou|ic]i. É-TÀL ou tiÀi. ,i çrép. Aoprùsdc. ïrès prqs de. Iialz a diid a^oa l’iàl afin iliz^^ ji y avait beau,coMp (Jç. ’raoïid^ aup|-è«,içje| Vv^if^e. A la lellie, en fiiomt. " ’.x/r ? -i -j^)•, vi :-. É-T.4I.. Voyez Ta L,.i :i’.l :ii'f./’l £-TECj"u, adj. riigilifjquj ost,oñfiùte.-Qui Cuit Ê^ma e-iec’h pall-zù, il ebtjt’ugilif il y :a loiigtenipu. A la leltR-, tN iuitf.. Ë-TÎ, pré(). Chez., lin I ;i maison de. Jiizck liacr a iva i’-(l va zdd, il y avait de beaux chevaux chez iDuii père. A.la Jiellvq i PP* maison. £-TOLii«,i)U iîTOVKZ,^ prop’. Parnii ; Aumi>+ lieu, de.i B otre. Uikennit’tm -.gtocloi élouez alin dûd-zé, vuiis ne me vcrfezjhBJftis jjanni ces gens-là. Jxjrsque celle, pi(r|(iusiliun est suivie d’un pronom persopnel, clic se Irouve/paJlagee par ce pronom. JS’eiiz t-atr érbcd enn-.hon louez,1, il ny a pas de voleurs parmi nous. Voyez t-Ki ;nz el ü-mesk,

h-TRK. Voyez E»N THÉ. i,

É-TKÉZÉ 0UÉ-TRÉ2E.G ou ÊtRtfeÉ VTtépOS. Vers. Duicolé de. IjC premier se roetdivatlt les consonnesi, cl, l’antre devant lesToyelles. Élrczc bienupcr é ckouui, il dcraouieidu ciWé de Quimpor. fArdzày ar iiior iiid éat, ils sont allés vers-la mer.’ Ce mot doit venir de «’, en, et de Ireiiz, travers, traverse. Ë-THÔ,ou Ètho, prcp.Vers. Environ. Autour de. Près de.-Eini Goél’lann <• vi’zinn disirù jp serai de relourversla St Jean.A la lettre, en Toin. É-TÜÜNI, ailv-.. A la’dépobée, en caoheUc, sccrètemunt. H. V." ! ■ ’.■ ’ ;ii • ’I ’ ' '■’ E-iiNANourtl^-UNAN ,adj. S(*i)l ,’Vîrii’esV sy}i’s ’ compagnie, l’nique. Lui seul. Elle soûle. AVoa kéd hé-iéiianpa oiuin éad d’hé rfV, il n’élart pas seul quand je siiis alléehezlni./^’rjW hc-’undn hcñ rùot, voiis le donnerez à elle seule. À la lettre, EN- vs ’ou tm in,’ ei.le cne. É-vEKK. Voyez Ederb.

Èac’h. Voyez Ac’ii, premier et dcnximc art. Éalou El., s. m. Ange, créature poremeni spirituelle et intellectuelle. l’I. élez ou f7t’d. Ann éal Mnd ou ann e/ (/tt’cnn,’ Fange- gardien, le boij ange. /’.'((^lar ^araiîos, les anges rin ciel, les bons anpceS. Ar givall clez, les mauvais anges, les démons.

Èai, s. m. Poulain, jeune cheval. Pl. cd. Ce mot est du dialecte de Tréguier. Voyez ÈbeOl. Éala.ñ ou Ai.añ, V.,n. Pouliner, mettre bas, en parlant d’une jument. Part. cl. Ce mot est du dialecte de Treguicr. Ailleurs, on ne dit EBE 295

ala, qu’en parlant d’une vache qui a lait un veau. Voyez /iBEiLU.,

Ëax. Voyez Eiiam.

£>->-. Vgyez Ezuis.

ÈàS,^ Voyea Eila.na.

J^ab, 8. m. Air, cbrps léger cl invisible qui environne le glubtde la t^^rré. Eur guallcor a,, 3ù am«ñ, il y a un mauvais air ici. ilors de .iW ; tT. — ^En tjaljes,.aouer. H. V. i-’Afi-BouÉz, s. m. Baronièlre, instrumci I servant à faire connaître la p«santcar de l’air. II. V.

, Éarai, T. a.. Aérer, donner de l’air. Mettre en bel air. E.xposer à l’air. ]->enler. Paît. et. AV Jii’d éarelmâd ann ti gan-éhoc’h, ^ous n’avez pas bien a< !ré la maison. Hors de Léon, cr,a-,,.

Éaz, adj. Aisé. Facile. Commode. Ké kéd éaz ann drà-sè da ôber, cela n’est pas facile à faire. Hors de Léon, éz. — En Galles, aoz. H. V.

Éaz, s. m. Aise. Aisance. Facilite. Commode. Enn hoc’h éaz hem gréot, vous le ferez à votre aise. Il est peu usité.

Ébarz ou É-barz, adv. et prép. Dans. En. Ucd^OiS. EUaiz.ctm eul léac’h lomm, dans un lieu ch.-iuil. y’nna kvd c’hoaz ibarz, il n’est pBW : encore deda-ns.

’Ebat, s. ni.’ Jeu. Divertissement. Plaisir. Amuseinml. Pl. ou Anncbuloua gdr ann déni (io,(añk-zé,. ce jeune homme aime le jeu, les plaisirs..Voyez Ciiovui et Dldi. , Ébata, v n. Jouer. Se divertir. S’amuser. Part. et. Id da ébata bréma, allez vous divcrlir actuellement. Voy.C’uoARi, :i^art., et Farlota.

  • Ebmlz, ailj. Divertissant, qui divertit,

(lui léjouit. H. V.

ftiiÉN, pronom indéterminé. L’autre (pour le féminin). Ann eil ébén, l’une l’autre. Ann til hâg ébén, l’une et l’autre. Voyez Egilë. - ÉUEBB. Voyez É-BERH.

Èbeilou EiBEûi. eu (IkObeùl, s. m. Poulain, jeune cheval. Pl. ébcùlivn. I.ammoud a ra ével.. (Uitn cbeid iaowiûk, il saute comme uii jeujic poul.iin. >'oye2EAL, deuxième article. , Éui ;iL-KO,sD, s. m. Pivert, oiseau. Pl. cbni lien-koad. Ce mot est du dialecte do Cor noniille. Voyez K zek ko.d.

Ebellez ou EiuKi LE/, ou HeCbeClez, s. f. Pviuliçhe, jeune cavale. Pl. éd. Ebbclia ou ECbeùlia on IIeCbei’-lia, t. n. Pouliner. Il se dit de la cavale qui met bas. Part. ébeiiUel. Uù kazeg a ébcùlio hép daU, votre jnmcnt poulinera bientôt. En Tréguier, on dit éa(.m ou alaû, dans le même sens. ÉiiiL. Voyez IIibil.

Ebilia. Voyez IlmiLiA.

Ebioi. Voez t-Bioc.

Ebr ou ÊB, s. m. Firmament. Le ciel. Sphère bleue où les étoiles tixes paraissent atlachùes. de mot est du dial. deVann.N ov.Oabl. ’Ebrki., s. m. Avril, le quatrième mois de l’année. Mil ébrel, le mois d’avril. En Vannes, on prononce imbrcl. C.c mot ne doit pa.s èlre brolon. C’est, je pense, une corruption du latin APRiLis.