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CHAPITRE XII

LA CHANSON DE PLUTON

John Roberts possédait un somptueux atelier dans la plaine Monceau, et, chaque jour, des attelages impeccables, des autos de grande marque s’arrêtaient à sa porte.

Les verrières se couvraient de stores ; combinés avec art, d’épais tapis d’Orient ouataient le sol, et plusieurs divans, drapés d’étoffes chatoyantes, aux broderies d’or et d’argent, invitaient aux intimes causeries.