Page:La Sainte Bible, trad. Segond.djvu/1512

Cette page n’a pas encore été corrigée

vous.

  1. Que tout ce que vous faites se fasse avec charité !
  2. Encore une recommandation que je vous adresse, frères. Vous savez que la famille de Stéphanas est les prémices de l’Achaïe, et qu’elle s’est dévouée au service des saints.
  3. Ayez vous aussi de la déférence pour de tels hommes, et pour tous ceux qui travaillent à la même œuvre.
  4. Je me réjouis de la présence de Stéphanas, de Fortunatus et d’Achaïcus ; ils ont suppléé à votre absence,
  5. car ils ont tranquillisé mon esprit et le vôtre. Sachez donc apprécier de tels hommes.
  6. Les Églises d’Asie vous saluent. Aquilas et Priscille, avec l’Église qui est dans leur maison, vous saluent beaucoup dans le Seigneur.
  7. Tous les frères vous saluent. Saluez-vous les uns les autres par un saint baiser.
  8. Je vous salue, moi Paul, de ma propre main.
  9. Si quelqu’un n’aime pas le Seigneur, qu’il soit anathème ! Maranatha.
  10. Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec vous !
  11. Mon amour est avec vous tous en Jésus Christ.

2 Corinthiens 1

  1. Paul, apôtre de Jésus Christ par la volonté de Dieu, et le frère Timothée, à l’Église de Dieu qui est à Corinthe, et à tous les saints qui sont dans toute l’Achaïe :
  2. que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ !
  3. Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation,
  4. qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation dont nous sommes l’objet de la part de Dieu, nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans quelque l’affliction !
  5. Car, de même que les souffrances de Christ abondent en nous, de même notre consolation abonde par Christ.
  6. Si nous sommes affligés, c’est pour votre consolation et pour votre salut ; si nous sommes consolés, c’est pour votre consolation, qui se réalise par la patience à supporter les mêmes souffrances que nous endurons.
  7. Et notre espérance à votre égard est ferme, parce que nous savons que, si vous avez part aux souffrances, vous avez part aussi à la consolation.
  8. Nous ne voulons pas, en effet, vous laisser ignorer, frères, au sujet de la tribulation qui nous est survenue en Asie, que nous avons été excessivement accablés, au delà de nos forces, de telle sorte que nous désespérions même de conserver la vie.
  9. Et nous regardions comme certain notre arrêt de mort, afin de ne