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aussi ; où la soignera-t-on mieux qu’ici ? Est-ce qu’il ne vaut pas mieux qu’elle reste ici ?

LE ROI.

Oh ! oh !

ANNE.

Quoi ?

LE ROI.

Oui ! oui !

ANNE.

Ah ! — Voyons, Allan ; qu’as-tu donc à nous observer ainsi ? Viens m’embrasser ; et va-t’en jouer à la balle.

LE PETIT ALLAN.

Est-ce que Ma-aleine est ma-alade ?

ANNE.

Oui, un peu.

LE PETIT ALLAN.

Très, très, très ma-alade ?

ANNE.

Non, non.

LE PETIT ALLAN.

Elle jouera plus a-avec moi ?