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de la maîtresse qu’elle me savait ; ce voyage où il m’arrivait de si doux préludes d’aventures, la scène du carrosse, celle du banc de gazon, la situation, l’heure, tout cela me troublait : indépendamment des autres bouleversemens qui venaient de se passer en moi, j’étais tour-à-tour emporté par l’amour-propre ou les desirs, et ramené par la réflexion, mais j’étais trop ému pour me faire un plan, et prendre de certaines résolutions.

Tandis que j’étais en proie à des mouvemens si contraires, elle avait