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que pour le mari. En rentrant dans le salon. « Je vous sais gré, madame, dit-il, de la précaution que vous avez eue d’amener monsieur : tous avez jugé que j’étais de méchante ressource pour la veillée, et vous avez bien jugé ; car je me retire. » Puis, se tournant de mon côté, d’un ton ironique : « Monsieur voudra bien me pardonner, et se charger de faire ma paix avec madame. » Alors il nous quitta.

Nous nous regardâmes ; et, pour se distraire des idées que cette retraite occasionnait ; madame de