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I38 Po/IES DV v. RS v.S. La mourante langueur, et la froide vieillesse . LXII Pere de l'Univrs, dominateur des Cieux, Meine moy, je te suis, . route heure, en tous lieux, Rien ne peut arrester ta olont fatale; Oe l'on resiste ou non, ta puissance est gale; Tu te fais obeir ou de force ou de gr; Les ames des routins te suivent enchaisnes; LQe sert-il de luter contre les destinies? e sage enest conduit, le rebelle entraisn 9. LXI[I S'il manque fi l'ndigent, l'avare se plaint tout . LXIV O, ui sr;ait vivre de peu, n'a disette de rien 4. LXV Le temps fuit, et iamais ne se peut rappeller . LX VI La plus belle saison fuit tofiiours la premiere; Puis la foule des maux amene le chagrin, Puis la triste vieillesse; et puis' I'heure derniere Au malheur des mortels met la derniere main 6. LXVII Puis vient la maladie et la triste vieillesse 7 LXVI[I A qui [amais I'amy ny I'ennemy . N'a pfi payer le bien fait qu' demy s. I. Epfstr CVII, tome II, p. 358. virg. Aneid. VI.274. 2. Epistre CVII, tome II p. 36i. 3. pistre CVIII tome II, p. 367. Publius Syrus. 4. Epistre CVIII tome II, p. 368. Publius Syrus. 5. Epistre CVIIItome II p. 37. Virg. Georg. IIf, 284. 6. Epistre C, VI[I, tome lI p. 37- Virg. Georg. III 66. 7. Epistr CVIII, tome If, p. 377. 8. Epistt' C, VIII tome II p. 379. EnniusJ