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po.s mv.sEs. -9 LX. LE FLORENTIN .e Florentin Montre . la fin Ce quail sqait faire: I1 ressemble /tces loups.qu'on nourrit, et fait bien: Car un Ioup doit tofijours garder son caractere Cornroe un mouton garde le sien. J en tos averts, I on me dt prenez garde, Quiconclue s'associe avec lui se hazarde: V'us n,connoissez pas en,cor le Florentin C est un paillard,.c est un matin Q.Ei tout devote, Happe tout serre tout, il a triple gosieri Donnez-lui, fourrez-lui,.}e Glou demande encore, l.e Roi-mme auroit peme le rassasier / Malgrg tous ces avis il me fit-travailler. Le paillard s'en vint reveiller Un enfant des neuf Sceurs, enfant . bathe e, Oui ne devoit en nulle guise Estre dupe: il le rut, et le sera tofijours. -Je me sens naipour ttre en butte aux mchans tours. Vienne encor un trompeur, je ne tarderai guere; Celui.ci me dit veux-tu faire, Prestb Prestb, quelque Opera, Mais bon, ta Muse repondra . Du succez pardevant Noraire. . cette piece a paru d'abord dans les Conres pablis Amsterdam en 169 (tome II p. 1); elle a ensuite tg rimprime dans les tEuvres di*,erses (tome I, p. 94). Elie edt dirige contre Jean Baptiste Lully, qui, aprRs avoir dtermin La Fontaine t composer l'op6ra de Daphne, refusa de le mettre en musique (voyez tome IV, p. note 1 de notre dition).