4? ?E VOUS PREN$ SANDS VERD. JULIE, MONTREUIL, cELIANE; S.-AMANT? DORAME ?'? la feMtre. S.-AMANT , ? Dotare e. .?..?eau-pere ? on. ne sqauroit mieux pJe'urer un Epoux ! . . . J u L I g ? el Montreail e! a Celiane. Tout nous dit de son�au V.e[d, en avez- vous ? Je vous y prens, montrez. / CELIANE. Oh ! qu'? cela ne tienne ! Ma bo&e est perdue, ah ! MONTREU'I L. Le Diable a pris la mlenne. JuLiE. A nos conventions je vous sofimcts tous deu'x. Celiane ? ouvrez-moy v6tre cceur, ie.le v?ux; Mais sans lard: de l'amour l'avez-vous sqfi d?fendre ? N'est-il point quelque Areant qui s'y soit fait entendre ? CELIANE. Jusqu',? ceiour it est de si peu de val.eu G , O?'aucun ne s'est often pour y prendre comeur. .JULIE. Vous mentez: i]en sqay un, vous le sqavez de marne, i1? montre avo?r pour vous une tendresse extreme; rale de vous faire entendre ses amours. CELIANE. Je vais? pour m'en d?fendre, appeller du secours.
�
