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380 LA COUPE ENCHAN'rI?E, SCENE XVI. ANSELME? JOSSELIN, ? OSSEL[N, Des menaces ! Vousvoyez comm? ? ? il perd'le respect. ? ? AI?S?:LM?:. O.?'on l'arr&e. ?oe2 JOSSELtra. Non, non: il vaut mieux qu'en courant il aille dissiper ces vapeurs qui lui trou- blent l'imagination. � ANSELME. Mais je croi qu'en effet il est devenu fou: quel galimatias m'a-t-il fait ? JOSSELIN. G'est iustement une suite de ce que disois tant6t. Ge sont des iddes qui lui passent par la cervelle? et i ene iurerois pas trop que ce ne fussent (1) des iddes de femmes. - .... ANSELME. Des idles de femmes ! Vous vous moe- quez?, Monsieur Josselin ! Peut-on avoir des idles de ce qu on n'a jamais vfi ? .10SSEr?It?. Belles merveilles! Et ne vous est-il mais arrivd de faire des songes ANS?.LME. Oili. JOSSEt. I?. Et de voir en dormant des �hoses que vo s n awez amass riles. et c?ue vous ne vous senez jamls imagin'?es si vous ?'avi?z dormi ANSELME. D'accord; mais ce petit garc;on-l? ne dort pas (?). ]OSS?.LIN. Non2 vrayment; au contrair% je ne l'ai iamais vfi si ?veille. ANSELME. Hd bien ?_ JOSSELIN. H? bien! il r?ve tout ?veill?; et c'est ustement ce qui fait (?) quql fait des conres & dormir ebout. ?. var.: etjejureroi$ que ce $ont. 2. vat. :l?ofnt. ?. var.; gst