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378 LA COUPE ENCHANT?E. SCENE XIV. . LUCINDE? PERRETTE, JOSSELIN, BERTRAND. e_?.?. ERTRAND. Oh !,palsangu? ! ie vous prends sur le fait: ie nen suis plus que'de moiti?. JOSSELIN. Voila un }narohfle qui vient bien mal-&-propos. BERTRAND. Testiguenne! puisque vous voulez les fourrer dans votre chambre, ie ne serai pas pendu tout seul pour les avoir bout?es dans ma cal?ute ;, vous le serez avec moi; ie ne m'en soucie guere ! JOSSELIN. Veux-tu te taire? BERTRAND. Morgue! ie ne me tairai point? & tooins que i e ne ?',e_tire mon ?pingle du ieu. �'JOSSELIN, O? entends-tu par-lh ? BERTRAND. 3'entends que vous soyez pendu tout seul'. �JOSSELIN, Q?e vent dire cetanimal-li? BERTRAND. ?e veux dire qu% moins que vous ne disiez que c'est vous qui les avez cach?es (0, i e v?i �tout apprendre & notre maitre. JOSSELIN'. Et bien ! ofii, ie dirai que c'est moi. BERTRAND. Mais, morgu? ! point �e tricherie au tooins (?). PERRETTE. J'entends quelqu'un. BERTRAND. Rentfez dans ma 1ogette, et ne vous montrez plu% sur les yeux de votre t?te (?). JOSSELIN. Chut ! ou ie te rendrai' complice. BERTRAND. Motus! ou i e d?couvrirai le pot au FOSe, .1. hes &ditions modernes a]outent ici: par la sanguoi ! ?. Vat.: Eh bian ! je ne lui dirai done rien; mai A mor- gud. t point de trideerle. 3. Vat.: et ne voux montrez plux, au tooins.