88 ’Psyche : Miroirs o l’on n’a point.itiargnt le cristaF. Au milieu du premier, Phoebus, sortant de l’onde, A quittl de Thetis la demeure profonde. En rayons inlnis l’ eausort de son flambeau On vd pres’que en rapcur se resoulre cette eth. Telle la chaux exhale une blanche future. D’atomes de cristal Une aug cst formde : Et lots que le Soleil se trouve uis vis, Son clat l’ enrichit de couletrs de l’Iris. Les coursiers de ce Dieu, commenfans leur cartiere, A peine oat hots de l’eau la croupe toute entiere : Cependant Dales void. impatiens du frein ; lls forment la fosse en secoiant leur erin. Phoebus quitte regret ces humides demeures : II se plaint ) Thetis de ta h ? tste des Henres. Elles p oussent son char par lents mains vreparl, Et diseat que le Somme ensa grotte est re’ntrL ette figu/e pans d’une place-est suivie . ’ Mainte allte en &oile,, son centre aboutie Meine aux extremitez de ce vaste pourpris. t. Le grandefinal. 2. ( Dans le bassin d’ApolIon, dit M. Walckena.r, on voit aujourd’hui ce dieu represent6 en bronze, tit6 par quatre couxsiers, et environn6 de.tritons, de baleines et de dauphins. quoique ce bassin nit 6t refait en partie en 737 et 738, cependant ds l’an 674 ce groupe figuroit les roes choses, ainsi que le prouve la Description sommaire de chdteau de Versailles par Felibien, Paris, 674, in-iz, p. 86. 11 parolt que Io[sque’La Fon. taine 6crivoit, c’est44ire cinq ou six aris avant la publication de l’ouwage de Felibien, ce gxoupe 6toil tout diff6xent, puisque notre auteur ne parle ni de tritons, ni de baleines, ni de dauphins mais de T6thys et des Heures qui poussent le char du die’. 1 ! se.m. ble bien plus probable que ce groupe n’a jamais exist6 tel qn’rl es.t expliqu6 ici, et que La Fontnine txavailloit d’aprs an pro, let qui ’n'a pus 6t6 ex&nt& 11 ne faut pus oubtiex qu’il nous a dit lui-mme, h la fin d sfi pr6ffice : Cette description ( n’est pus tout & fait conforme & l’estat pesent des lieux ; je.les ay d&fits ea celuy o. dans deu aris an 16s pourra volt. )I
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