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4 6 Ps {CHR. monde, elle {’assurn que, tout invisible et tout mons tre oulil vou{oit estre. el{e ne {aiss ’, — ,. .,, o,t pas de I aymer. ams se passa I’avanture de la Grotte. I euren artira beaucoup de pareilles. Nostre HeroYn& ne perdit pas la memoire de. ce que [uy avoit dit son 6poux. Ses resveries la menoient sou entjusqu aux heux les plus ecartez de ce bean selour, et faso,en/si bien que la nuit la survrenoit der n u’. ., a t q elle pfit gagher le Iog, s. Auss]-tost son mary la venoit trouver sur un char environnd de tenebres ; et plaant & costd de luy nostre ieune dpouse, ils se promenoient au bruit des fontaines. Je laisse 3. penser si les protestations, [es setmens, les entretiens pieins de passion se renouvelloient, et de lois/t aut,r. es aussi [es oaisers ; non point de mary/t femme, il ny a rien de plus insipide, mais de maistresse /t areant, et, Dour ainsi dire, de gens qui n’en serotent encore qu’/t ]’esperonce. Quelque chose manquoit pourrant /t la satisfaction de.lC.si. chd,. Vous voyez.bien que i’entends parlet de la n.ase ae son mary, c’est/t dire de cette opiniastretd a aemeurer invisible. Toute la posteritd s’en est estonnde. Pourquoy une resolution si extravaaante ? II se peu/ trouver des personnes laides qui actefit de se mons.trer ; la rencontre n’en est pas rare : mats que ,ceux.qm son. t beaux secachent, c’est un prodige dans a nature ; et peut-estre n’y avoit-il que cela de mons’trueux en la-personne de nostre dpoux. Apds en avoir cherchd {a raison, voicy ce que i’ay trouvd dans un manuscrit qui est renu depuis peu ma connoissance. Nos, Amans s’entretenoient /t leur ordinaire. et {a leune epouse, qui.he songeoit qu’aux tooyens tle voir son mary, ne perooit pas une seule occasion de hy en,parler. De discours en autre, ils vinrent aux merveines de ce seiour. Aprks que la Belle eut fait une Iongue numeration des p aisrs qu’elle y rencontroit, disoit-elle, de tous costez il se trouva qu’/t son compte le principal p0inct y manquoit. Son mary ne