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432 LF, TTRES. lit de Ministre/t Monsieur de Seignelay. Je ne vo personne qui n’en tmoigne beaucoup de joye. II doit ce nouvel oruement .4 son roerite seutement. Ses soins, dignes que la fonnne .4vee eux veilrile concour Sfauront bientost par tout offfir L ’abondance en ces lieux commune ; Sur les () deux Mers nos Matelots, Q.uelque inconstans One soient les flots, Sauront mtnager pour nos voiles L’aide des Vents et des Etoiles. Ne doutez point qu’en son Employ Redoublant ses soins et son zele, Sous la conduite de so.n Roy Le nouveau Ministre n’ excelle. N’avons-nous pus vu de nos bords Une double Flotte reduite Et se renfermer dans ses Ports, Mettaut son smut dans sa fuitte (2) ? Le travail y crott, j’en, conviens ; . Mais tels maux en Conr sont des biens, Et Seignelay peut y suffire. On le voit sur le champ tcrire Touchant des points tres-importans, Mteux que moy, Sezgneur, cest pen dzr : Mieux qu’aucun Ecrivain du temp. Pour passer,t d’ autres matieres, Vous sfaurez qu’ on m’a dit n’agueres Que cet Hiver-cy FOpera.

4 Rome se rtablira.’ '"

Cela me semble un bon iugufe : En la presente conjonqture,. l, Ainsi dans ls ’Ouvres o.tum : es" ; ur no deux Mers dans les Ouvres diverses. 2. allusion au cornbateaval donni le Io juillet contre les fiott es angloi,e et hollandoi,e.