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LTTR. 427 N&re Roy royant quelques Villes Sans peine a la Foy se rangeant, L’appetit lni vine en mangeant (). Les’ Q.uolibets que /e hazarde Sentent un pen le Corps-de-garde. Ce stile est bon en tethps et Une autre fois, moyennant Dieu, Vtre Altesse me verra metere Du Francois plus fin dans ma Letere. Cfpendant d’un soin obligeant L’Abbl (a) m’a promis quelque argent. Amen.tet le Cid le conserve Apollon, ses chants etsa verve, B ? tchus ) et peut-estre t’Amour, L’occupent souvent tour, tour, Sans com ? ter l’hidre creanciere. Q_udque lOUt ce sera matiere Pour lui donner, avec raiso Antant de testes qu’ Typhon. I1 vent accroftre ma chevance (3). Sur cet espoir, ]’ay par avance ’ Oetques Louis an vent jettez, Dont jer. ens grace tt vos bontez. Le reste era sans point de faute (On bien]e compte sans mort Hoste : Le Paillard m’t die aujourd’hui Ou’it faut que ]e compte avec lui. Amez-vous cette Parentese ?). Le reste ira, ne vous d ? laisG En……. (4) et cetera. . eshultderniersversmanquent dansla opiemanuscrite. .. L’abb de haulieu. 3. Ainsi dans les Cguvres diverses, dans la copie manuscrite et’ dans les ditions modernes. Les flruvres postumes ortent acerocher au lieu d’accroItre, ce qui ne donne point e sens satisfaisant. 4. II y a ici des points dans les Œuvres poxfumes. Les (.Euvres diverses portent en bas-reliefs ; la copie manuscfite en vin en joie.