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425 LETTRES. Profanez par des Allemans. Ces gens ont de hahups trop grands N6tre Nectar veut d’ autres verres. ’ En un mot, gardez qu’en nos Terres Le chemin ne lear soit ourerr : Ils nous pourroient prendre sans vert ( ). Prendre sans vert n6tre Monarque ! Les Conductears de cette Barque Y perdroient bien-tost lear Latin, Lorraine eat le nez le pl.u. s fin ; I1 faut se lever plus matra Q. e he font beaucoup de ces Princes Pour penefrer dana nos Provinces. Je vois ces H. eros retournez (2) Chez eux avec un pied de nez, Et le Protectear ds Rebelles Le cul c) terre entre dux selles ; Et tout le patti Protestant Du Saint-Pere en vain tres-content. J’ay l-dessus un come, faire. L’autre ]’our, touchant cette affaire, Le Chevalier de Sillery, En parlant de ce Pipe-cy (5). Souhaitoit gout lapaix publique Q_u’il se fust rendu atholique (4), Et le roy JACuigs Huguenot. Je trouve assez bon ce ton mot. Loum a banni de la France L heretque el tres-sotte engeanee. ll tenta sans beaucoup d’effort Un si grand dessein dans l’abord ; Les esprits estoient lus dociles. I. vat. Ils crayoieat noua prendre sans veL . Vat. H sait trop bien roenet sa brque. e vois ces Heros retoumez… . Vat. En parlant de cs choses-i. 4. gar. , Q.e le Pape rust Catholique