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48 LETTRES. (e I’hmen est on seulemet Pour les iens de certaines classes. J le soufire en ceux du haut rang, Lorsque la noblesse du sang, L ’ es ? rit, la douceur et les graces Sont foints au bien ; et lit h part. II me faut ? lus tl mon gard. Et quoi ? de l’ argent sans affalre ; Ne me oir autre chose a fttire, Dquis le marin jusqu’ au soir, Oe de suivre en tout mon ouloir ; Femme, de ? lus, assez,vrudente Pour me serir cl confiderite. Et quand j’ ? urols tout mon choix, J’y songerots encor deux lois. Je vous supplie, Monseigneur, que cet ourrage, que je vous envoie seulement pour vous dive’tir, meure sub sigillo confessionis. Je vous en fais part comme je ferois mort Confesseur/bien que cet emploi ne se donne gu&e un Prince du Sang de votre ge. V. A. empachera s’il lui plait, que cet crit ne ’ asse en d’autres mains que les siennes : car Madenoiselle de La F…. est trop afflige ; il y auroit de, I mhumamth . rtred une affatre qm la fat pleurer s amhrement. Qe si vous voulez clue ces vers soient vfis despersonnes de votre Cour, le vous supplie que ce soit de ceux qui auront un peu. de discretion, et cui seront capables d’entrer srieusement dans les llalsirs d’une fille de ce nom-l.