vous soy.ez’gar qu tro : s lieus. : Selon ]’ordeo : dev : ez alJet s Ja ’mme lne taut que terre et vostre Cheval auroient pfi vous poer, e presn d’espfit do vous ]usfifier-fiemen/’des d : stracfion dont on Ous accuse. En’ pitiant d’Ul : sse’e fa : s rflefion que le fitre .d’Ofl : sse conviendro : t peut-estre mieux i vos-ant Yes que cela : .d’II : ade que Vous leur doez. En effet> les Erreurs de : ce -Heros he me paroise pas avo pe de.rport avec vostre voyage, et i e trouveroiS
- -qu une difference entre Ullsse-et vous :
Ce eros ’ expos ’mie fois.au.tp.
- ll pacourut les’ Mer presque d’un bbt l’ate
.’Pour cher&er son Epouse et revoir ses appas. Quds.pehls ne courriez-vous pas Pour vo loigner-deta rOtreit Mdis’la dfffereUce ’egt pilte, et il hl16it en ’ette comparaison est la destin de toutes les tres c’est-&-dire u’dlecbch.ast un p. Vous estes hen plus.uste dans les vostres : ’-celle du Printemps et crmante, et celle de l’Aurore esl recieuse riante au possible. Enfin l’une et l’agtre sot telles qu’elles ou.rmit bien runs avoir hit des afffiires. J’e ’ me d0ute fo qu’une Dame ’el ffne’ Demoiselle qui sont icy he les o.point regardes sans enve. Ce hose ange dans ee sexe que limbti6n’d'etre lus be le ; mais vous-.aVez.n tooyen.de ous met}re s chan, l discourt sedadteurs-. FRaiseront ar’urs charmesateu ’ ette ’temFeste menafante. . ,. Un.encens bien ’moin Frecie’ ’e n’ est.cdai que vOtre main firsen
