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4 TTRES. Une autre lois, ie l’estere, Je ferai, moennant Dieu, Quelque Rez9te de Cythere DAmarante de Bea,,liete. Je n’ay pas besoin de vous exhorter fi prendre la chose u n peu tooins tragiquement que ne le cornporte mort avanture. Il me semble mme que ces vers-l& ne sont nullement traiques. Vous pouvez vous moquer d.e moy (2)tant qu’flvousplaira, jevous lepermets, et s cette jeune Divlnit qm est venu/ troubler mort repos ytrouveun sujet de se dlvertir(), je ne luien ray point (4) mauvais r& A quoy servent les Radoteurs, qu’/ffaire fire les leunes filles ? Si mademoiselle de Gouvernet est encore g Bois-le-Vicomte, je vous conjure de lul dire de ma part que sa presence doit avolr fort embelli un leu auquel je ne croyois pas qu’il se pfit rien ajouter. Vou oenerez ce discours des choses les plus gradeuses que vous pourfez, et que vous jugerez les.phs convertables & une personne que les graces ne quittent point (5). Adieu, Monsieur, je suis tout

vous. ’ ' 

), pafis le 4 jin 688. LETTRE XXX IV(6). RIPONSE DE MONSIEUR L’ABBI VERGER A Monsieur de La Fontaine. N’en soyez point en peine, Monsieur, le recit de I. vat. porte. . Vous pourtea vous en moquer. . War. y trouve ujet de se 4. Vat. pas. 5. Tout ce passage sur mademoiselle de Gouvernet manque dans les aures postumes. 6. Publie pour la premi&e lois dans les auvres