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LETTR. 405 Je vous entens dlja dire : Cet hornroe n’est-il p, as fog Dans l’entreprise qu il tente Il est plus prls du Perou O,_u’il n’est du cœur d’Amarante. Vous aurez raison de (0 parlet a. insi i’eta conylens. Amarante estjeune et belle Ji suis vieux sang estre beau, Et vais pour quelque rebelle (). M’embarquer tout de nouveau. Plus je songe ()’en mon ceveau De combien peu d’ apparence Ser, oit pour ino l’espe- rance De la toucher }tuelque j’our ’ ' P ! us }e vis qu’c'estfolie D aymerfille (4) si}olie Sans estre’le dieu d’Amour, Amarante et [e Printmps On un air qui se ressemble, Voicy, comme ]e pretens Oue I on les compare ensemble. Par ls L[s premerement J’entdme ce ( )arallele, Soupfonnant ( ) aucnement. Ceux qu’Amarante recelle. Je suis tromp si son N’en est un pfdn magazin, Le mdest que ce ont choses Pour vous et moy lettrs closes. Nous sbmmes sjin ! es mortels, I. Vat. d’en…. 2. Var. Cruelle, . [tar. pense. 4. Vat. lqimphe. . Var. le. 6. Var. Et souponne.