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402’ L, ETTRES. croire que personne n[et plRs ve_ritableme,n’qu moy Vosre eta : . ’

paris, c 8. d&embre 687.. 

LET ? RE XXXII AU PP. RE BOUHOURS.. (paris, novmbre oa d&embre [687.) Mort reverend pere, sans un rumatisme qui m’empesche presque de marcher. et d’aller plus loin’ que la rue St.-Honor&, j’aurois est vous remerciei, du plalsir que m’ont fait vos dialogu6s ; tout y est bien remarqu&, et d’un goust exquis ; tout yes, t parfaitement &tit. ; ear vous estes un de no. maistres. Madame de la Sabliere est aussi tres satisfa te de cet ourrage Vostre traductlon sur les qui&tists est aussi de bonne main ; rhaii j’aurois voulu-que vous eussiz mploy{ vostre talent sur une autre matiere q. ue cellIg, et ayant un aqtre’orMnal Une chse qm est tot A fait de mort goust, sm ? lement et elegamment &rite, et avec beaucoup’ de lugement, c’est ll eue ’ous a z _ ve fret du pauvre pete Rapm : cela me plmst fort. J.e suls, mon. reverend pete, Vostre tres. hum’b e et if. es obeissant Servitenr j DE LA FONTAINE. . Copi sur an fae-siraile de l’leotzograpMe franoise publie.par Delpeh ; L’original appartenoit & M. [’arison. L’ouvrag dom il s’agit t intituld : Le manire de bien penser ans les ourrages d’espvit, Dialogues) 687, in-4o, achev ’jmprimer le dernier oct9bre .