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LETTRES. Ces mout. ons, Ma’dame, c’est V6tre Altesse et ’Madame Mazarin. Ce seroit (,) le lieu de faire aussi son 1oge, afin de le ioindre au v6tre ; reals, toutes. rilexioNs faites (2), ’cornroe ces s0res d’loges sont une marlere un peu delicate, je crois qu’il vaut mieux que je m’en abstienne. Vous vous aimez en sœurs : cependant ]’ ai raison D’tviter la comparaison (), L r ve peut partager, mais non pas la Iomlne. Le plus gran ? l Ora-teur. auand c seroit un Ange,. Are conte-nteroit pas, semblabtes desseins, v Deux Belles, deux Heros, deux Auteurs ni deuxSaints. Je suis avec un profond respect, MADAME DE VOSTRE ALTESE’ SERENISSIME Le tr6s-humble, tr&s-obissant et tr&s-fidle serviteur/ ’-LETTRE’XXX. RtPONSE DE MONSIEUR D : E S.-IVREMONT A la Lettre de Monsieur de La Fontain lcrite Madame la Duchesse’ de Boaillon (4). (ondres. Dgcembre 687.) Si vous estiez aussi touch du roerite de Madame t. CEuvres postumes : ce seroit icy. 2. Ces quatre derniers mots ne se trouvent pas dans les uvres postumes. 5. On lit dans les auvres pos.tumes, an lieu de ces deux vets la phrase suivante : vous vlvez. en Soeurs, cependant il faut viter la comparalson. 4. Nous suivon ici le texte des auvres postureesop. 9