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LETTRES. 38. Je ne doute pointque les d’H'ervarts et les SaintDiez ne fassent leur devoir de vous crire. Ce seront des Lettres de bon.endroit, et si ben que ie n’en seav qu’un 9ui se puisse dire meilleur. Je vus ! e souhaftd. Cependant, Monsieur,.hites-moi tofiiours I honneur de m’aimer, et croyez que je suis, etc. LITTRF, XXIX (t). A MADAME LA DUEHESSE DE BOUILLON. ,. (Paris, Novbre 68) MADiMg Nous commenqons icy de murmurer contre les Anglois de ce qu’ils vous retiennent si longtemps. e suis d’avis qu’ils vous rendent la France avant la fin de I utomne, et qu en change nousJeurs donmons deux ou tros Isl ? ans I’Ocean. S’il ne s’agissoit que de ma. sausfacuon, ie leur cederois tout I’0,cean mme ; malspeut-estre avons-nous plus de suiet de nous plifidre de vostre Sur que ae l’Angleterre. On ne qute pas Madame la Duchesse-Mazarin cornroe l’on voudroit. Vous estes toutes deux environnes de ce qui fait oublier le reste du monde, c’est dire d’enchantemens et de graces de toutes soes (). Moins d’Amours, de Riset de leux, Coee de Venus, sollicitoient pour die, Dans ce dferend si fameux . . Publile pour la premiere lois dans les ure postumes, que nous avons suivies oour l’orthorranhe ntue nat Walckener d’a rs l’on mal ’ ' 2. . Walckenar pretend que les ditions portent : de toutes les sortes ; cela n’est pas exact : ’les ures postmes et les Cgvres dirses pont bien de toutes sortes.